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BUREL(L)E,(BURELE, BURELLE) subst. fém.
A.− Étoffe de laine. Un surtout de burelle grise (Pourrat, Gaspard des Montagnes,Le Château des sept portes, 1922, p. 13).
Rem. Dial. dans Rheims 1969.
B.− HÉRALD., au plur. Bandes horizontales d'un écu, en nombre pair (cf. fasce, trangle).
Prononc. et Orth. : [byʀ εl]. Burèle(s) dans Ac. 1798, Land. 1834, Besch. 1845, Lar. 19eet Nouv. Lar. ill. (n'est pas au plur. dans les 2 derniers dict.); burelle(s) dans Ac. Compl. 1842, Littré, Guérin 1892, DG et Quillet 1965 (au plur. uniquement dans Ac. Compl. 1842). Cette forme est également mentionnée dans Lar. 19eet aussi dans Nouv. Lar. ill. pour lequel elle est vieillie. Les 2 formes sont admises dans Pt Lar. 1906, Lar. encyclop. ainsi que dans Rob. Étymol. et Hist. 1. xves. burelle hérald. (Jehan de Saintré, 58 dans Littré); 1631 burele (Monet, Abrégé du parallèle ds DG); 1798 subst. masc. plur. burèles (Ac.); Rob. donne ,,burelle ou burèle n. f.``; 2. fin xvies. « sorte d'étoffe de laine fine » (Vauquelin de La Fresnaye, Satyres franç., L. III, à J. A. de Baïf dans Hug.), attest. isolée; repris au xxes. 1922, supra. Forme fém. de l'a. fr. burel « étoffe (rayée) », v. bureau étymol. 1. Fréq. abs. littér. Burelle : 2.