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BICHONNAGE, subst. masc.
Action de bichonner. La famille rentrait à la maison où Madame Gorgibus procédait alors à des bichonnages savants (J. Lorrain, Contes pour lire à la chandelle,1897, p. 53).
− TECHNOLOGIE :
Le bichonnage se fait à l'aide de la mouillette chargée de vapeur, ou avec le chien maintenu très serré dans la main. J. Coulon, Technol. gén. pour la modiste,1951, p. 24.
PRONONC. : [biʃ ɔna:ʒ].
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1782-88 « apprêt de la chevelure » (Mercier, Tableau de Paris, t. 1, p. 101 d'apr. Rouvier dans Fr. mod., t. 23, p. 306 : Tous ces êtres-là [les coiffeuses] tirent leur subsistance des papillottes et des bichonnages); 2. 1951, supra ex. Dér. de bichonner*; 1 de bichonner étymol. 1, 2 a et b; 2 de bichonner étymol. 2 c; suff. -age*.