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contre disque, contre-disque n.m. MÉCAN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1919 - «Flangie del mozzo - Contre disque de moyeu [...]» M. Mele Dander, Dizionario internazionale di aeronavigazione, 38 (Milan) - P.Z.
1925 - «Flangia del mozzo - Contre-disque de moyeu [...]» A. Bertùccioli, Petit dict. illustré de l'aéronautique ital.-fr. et fr.-ital. (Livourne) - P.Z.
disque n.m. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1893 - «Mais la pointe inférieure [du bâton] est remplacée par un disque d'un diamètre double de celui du bâton, afin d'empêcher celui-ci de s'enfoncer trop profondément dans la neige.» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, 86 - M.J.
1905 - «On voit aussi disparaître peu à peu le disque de bois fixé un peu au-dessus de la pointe [du bâton], car il présente plus d'inconvénients que d'avantages.» F. Achard, trad. : Paulcke, Man. de ski, 63 (Berger-Levrault) - M.J.
1912 - «Une occupation utile et amusante, durant une ennuyeuse soirée d'hiver, consiste à consolider, avec des courroies graissées ou un fil de fer galvanisé, ces disques de roseau, de gutta-percha ou d'aluminium. Ils doivent être fixés solidement au bâton mais sans raideur, de façon que, même quand le bâton est incliné, comme par exemple, lorsqu'on se pousse en plaine dans une course rapide, ils restent toujours appliqués horizontalement sur la neige.» R. Auscher, trad. : Fendrich, Les Sports de la neige, 61-62 (Hachette) - M.J.
disque n.m. CH. DE FER "signal" - GLLF, GR[85], 1864, Littré ; TLF, DHR, 1865.
1864 - «Quant aux moyens préventifs, ils sont toujours les mêmes : ils consistent dans l'habileté des agens qui président aux maneuvres, dans des signaux fermant la voie obstruée et couvrant le train qui l'occupe. En dehors du concours actif de l'aiguilleur et du cantonnier, il existe à 1 kilomètre en tête de la gare une machine appelée disque, que l'agent manoeuvre sans quitter son poste à l'aide d'un levier et d'un fil de transmission. La voie est-elle encombrée, il renverse ce levier, une tringle portant le disque tourne sur son axe et présente la face rouge au train qui vient ; celui-ci s'arrête à 500 mètres de distance, soit en tout à 1,500 mètres du point dangereux. C'est ce qu'on appelle fermer la voie. Cette mesure s'étend aux stations comme à tous les points de la ligne où l'utilité en est reconnue. [...] Presque tous les accidens arrivés en gare doivent être attribués à la confiance trompeuse que l'on fondait sur le jeu du disque. Récemment on a imaginé de munir le disque d'un répétiteur électrique, petit appareil que les voyageurs ont pu voir dans les stations, et dont le carillon ne cesse de retentir tant que la voie est fermée. Si par quelque incident le disque vient à s'effacer, c'est-à-dire s'il cache sa plate-forme rouge, la sonnerie s'arrête, et les agens, avertis, prennent leurs mesures.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 954 - M.C.
disque de stationnement loc. nom. m. CIRCUL. - PR[77], 1959 ; Lex.[75], TLF, ø d.
1957 - «DANS QUELQUES JOURS A PARIS LE 'DISQUE' de stationnement DANS LA 'ZONE BLEUE' [...]» L'Aurore, 9 oct., 1f - M.H.
disque intervertébral loc. nom. m. ANAT. - GLLF, déb. 20e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1852 - «Il est constant que les disques intervertébraux et que les cartilages costaux et autres résistent bien plus que les os à l'envahissement des poches anévrismales, ce qui tient à leur souplesse élastique qui leur permet d'échapper plus longtemps à la pression.»J. Cruveilhier, Traité d'anatomie pathologique gén., II, 789 - C.H.
*1868 - «M. Broca a présenté trois moules donnant la forme de la gibbosité propre à la polyarthrite vertébrale, une des espèces de mal de Pott [...] qui consiste dans la destruction primitive des disques intervertébraux.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XXXIX, 89 - C.H.
disque-appeal n.m. plais.  PUBL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «Nos 14 modèles d'électrophones ont du 'disque-appeal'.» Paris Match, 19 oct., Publ - K.G.
tourne-disque n.m. AUDIOV. - TLF, 1936, Catal. jouets ; GLLF, 1949, Lar. ; Lex.[79], v. 1950 ; GR[85], mil. 20e.
*1948 - «Des 'week-ends' classiques comprennent parfois l'addition d'un radiophono avec tourne-disque.» L'Onde électrique, juill., 284a - M.B.
vidéo guerilla, vidéo-guerilla n.f. POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1971 - «Inversement, mis au service d'actions révolutionnaires, les nouveaux instruments pourraient conduire à une 'vidéo-guerilla', à une forme de lutte politique qu'annoncent déjà certaines expériences [...]» J. Vladimir, La guerre des médias, in Actuel, numéro 8, mai, in G. Métayer, Machines à communiquer et mutation des sociétés industrielles, in Une nouvelle civilisation ? Hommage à G. Friedmann, 470 (Gallimard) - J.Hé.
1973 - «Face à l'initiative de groupes plus ou moins engagés politiquement et qui pratiquent une 'vidéo(-)guérilla' avec des bonheurs divers, quelle est l'attitude des Pouvoirs publics ?» A. Bercoff, in L'Express, 8 oct., 92 - AFC
1977 - «[...] le système proposé par M. Edeline comprend, en revanche, plusieurs avantages [...] Il permet à la S.f.p. de trouver un débouché nouveau pour la production télévisuelle, tout en venant en aide aux exploitants de cinémas menacés par la crise du VIIe art. Et, au gouvernement, de contrôler - grâce à un circuit de diffusion très centralisé - toutes les initiatives. La vidéo guérilla n'aura pas lieu ...» G. de Véricourt, in L'Express, 25 avr., 158 et 161 - AFC
vidéo-jockey n.m. AUDIOV. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1984 - «Dans les cours de récré, aujourd'hui, on se passionne pour Jacky, le seul et unique vidéo-jockey français.» P. Manoeuvre, in Elle, 6 févr., 46 - AFC
1986 - «Les émissions en construction seront peu à peu introduites dans la grille, les vidéo-jockeys testés progressivement sur l'antenne [...]» A. Cojean, in Le Monde, 4 mars, 19 - K.G.
vidéofréquence, vidéo-fréquence n.f. RADIOTÉLÉV. "fréquence du signal fourni par le tube de prise de vues" - GLLF, DHR, 1964, Lar. ; TLF, ø d.
1942 - «Vidéo-Fréquence. Fréquence très élevée propre à la télévision, représentant les détails de l'image et dont on module en amplitude l'onde porteuse. Est quelquefois opposée à l'audio-fréquence ou oscillation musicale qui transporte le son accompagnant l'image [...]. Finalement le signal assez complexe qui se trouve ainsi imprimé à l'onde porteuse est envoyé dans l'espace sous le nom de Vidéo-fréquence.» F. Clerc, Voici la télévision, 29 et 89 (Lyon, Durand-Girard) - J.Hé.