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anti-ministre n.m. plais. POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1620 - In titre : L'Anti-ministre, ou apologie pour les RR. PP. Jésuites, dédié à Loys le juste, roy de France et de Navarre, contre un advertissement aux princes de la façon que se gouvernent les Jésuites, fait par un ministre se disant religieux vuidé de passion (Simon Le Febvre), in A. Barbier, Dict. des ouvrages anonymes, I, 218 (Daffis,1872-79)
Au 20e :
1907 - «[...] ils sont compagnons et compères, les hommes du même monde, du même système, qui est le système bureaucratique ; - non moins bureaucrates, et peut-être plus, les antiministres, - les ministres, - de la Confédération Générale du Travail.» Péguy, Oeuvres en prose 1898-1908, 1130 (Gallimard) - P.E.
demi-ministre n.m. MÉTIER POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1830 - «M. Laffitte [...] a fait tout-à-coup d'un jeune écrivain un demi-ministre.» Balzac, 5e let. sur Paris, XXXIX, 87 (Conard) - J.H.-P.W.
ex-ministre n.m. MÉTIER POLIT. - TLF, ø d.
Add.DDL
*1790 - «Abattez [...] sans hésiter, la tête du général /Lafayette/ ; celles des ministres et des ex-ministres contre-révolutionnaires [...]» Marat, L'Ami du peuple, 18 déc., n° 54, in Roche, La Liberté ou la mort, 91 (Tchou) - LTP
ex-ministre n.m. MÉTIER POLIT. - DDL 11, 1790, Marat ; absent TLF.
Add.DDL
*1776 - «Il connoissoit parfaitement toute la volée des voyageurs de notre pays et se donnoit pour le parent avoué de M. Greenville, ex-ministre du roi notre maître.» J.J. Rutlidge, La Quinzaine angloise à Paris, in A. Franklin, La Vie de Paris sous Louis XVI, 48 (Plon) - P.E.
ex-ministre n.m. MÉTIER POLIT. - DDL 15, 1776, Rutlidge ; L, DG, TLF, GR[85], ø d.
1754 - «[...] le Marquis de Paulmy d'Argenson, neveu du Ministre de la Guerre, fils de l'Ex-Ministre des affaires étrangères [...]» P. Clément, Les Cinq années littéraires, I, 48 (A Berlin) - P.E.
1775 - «13 Juin 1775. Il paroît décidé que M. le Duc d'Aiguillon a eu ordre de se rendre en Poitou, à sa terre d'Aiguillon [...] On ne doute plus aujourd'hui que l'aversion de la Reine pour cette Dame n'ait beaucoup contribué à la disgrace de cet Ex-ministre.» Mém. secrets, VIII, 90 (Londres, Adamson) - P.E.
ministre de l'Intérieur loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - GLLF, L, PR[73], TLF, ø d.
1791 - «Ministre de l'Intérieur : Ce ministre est chargé : 1) De faire parvenir toutes les lois aux corps administratifs [...]» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre de la Guerre loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - TLF, cit. France, 1908.
1791 - «Ministre de la guerre : Ce ministre a la surveillance et la direction : 1) Des troupes de ligne et des troupes auxiliaires qui remplacent les milices [...]» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre de la guerre loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - DDL 11, 1791, Gautier ; L, ø d ; TLF, cit. France, 1908.
1749 - «[...] l'expulsion totale que M. d'Argenson, le ministre de la guerre, qui a la grande police, veut faire de tous les pauvres du royaume.» Collé, Journ. et mém., I, 112 (Didot) - P.E.
1750 - «M. d'Argenson, ministre de la guerre, disoit ces jours-ci [...]» Collé, Journ. et mém., 130 - P.E.
1759 - «MINISTRE de la guerre. La dignité de Ministre & Secrétaire d'Etat de la guerre, fut créée sous Henri II. en 1549. M. le Marquis de Breteuil nommé par le Roi le 16 Février 1740. & mort en 1742. a eu pour Successeur M. le Comte d'Argenson, retiré au mois de Février 1757.» [Aubert de la Chesnaye des Bois], Dict. milit., II, 622a (Duchesne) - P.E.
1771 - «MINISTRE. s.m. [...] Alors le Secrétaire d'Etat de la Guerre prend le titre de Ministre de la guerre.» Dict. univ. de Trévoux - TGLF
1774 - «2 Avril. L'orage commence à s'élever contre le baron de Pirch, & l'on croit que le ministre de la guerre, paroissant affecter la neutralité la plus grande à cet égard, est intérieurement disposé à ne point adopter le système moderne.» Mém. secrets, XXVII, 199 (Adamson) - P.E.
1775 - «Le Comte de Barbançon, fils du Marquis, premier Veneur de M. le Duc d'Orléans, succede au Marquis de Montauzier dans la place de Colonel du Régiment d'Orléans Infanterie, obligé de se démettre pour être contrevenu au Réglement du Ministre de la guerre sur les congés.» Mém. secrets, VIII, 58 - P.E.
1790 - «De là, nombre de difficultés entre le Comité Militaire et le Ministre de la guerre.» Mercure historique et politique de Bruxelles, n° 30, 24 juill., 266 - P.E.
ministre de la Justice loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - TLF, ø d.
1791 - «Ministre de la justice : Ses fonctions sont : 1) De garder le sceau de l'état, emploi qui lui fait donner aussi le nom de garde du sceau [...]» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
1791 - Décret du 27 avr.-25 mai, in HLF, IX, 2, 1039 - LTP
ministre de la marine et des colonies loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - «Ministre de la marine et des colonies : Comme ministre de la marine il a : 1) L'administration des ports et des arsenaux, approvisionnement et magazins de la marine, et dépôts des condamnés aux travaux publics, employés dans les ports du royaume [...] 7) Comme ministre des colonies il a la surveillance et la direction des établissements et comptoirs français en Asie et en Afrique [...]» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre des Affaires étrangères loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - L, TLF, ø d.
Add.DDL
*1791 - «Ministre des affaires étrangères : Il est chargé : 1) De la correspondance avec les ministres, résidens ou agens que le roi enverrait ou entretiendrait auprès des puissances étrangères [...]» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - DDL 11, 1791, Gautier ; L, DG, Lex.[79], GR[85], ø d affaires étrangères : DDL 11, GR[85], 1777 ; L, DG, GLLF, TLF, ø d
1749 - «La mort de M. Amelot, ci-devant ministre des affaires étrangères, arrivée le mois dernier [...]» Collé, Journ. et mém., I, 78 (Didot) - P.E.
1749 - «La mort de M. Amelot, ancien ministre des affaires étrangères, a laissé une place vacante à l'Académie française.» Raynal, in Corresp. littéraire, philosophique et critique, I, 304 (Garnier) - P.E.
1750 - «[...] les ministres des affaires étrangères, ceux de la justice et ceux des finances, faisoient journellement leur rapport au roi, qui décidoit en dernier ressort de toutes les affaires.» [Frédéric II], Mém. pour servir à l'hist. de la maison de Brandebourg, 250 (Au Donjon du chasteau) - P.E.
1775 - «[...] la Lettre du Comte de Vergennes à M. le Comte de Guines, en date du 9 Mars dernier, où le Ministre des Affaires Etrangeres lui marque le mécontentement du Roi [...]» Mém. secrets, VIII, 43 (Londres, Adamson) - P.E.
1784 - «Le ministre des affaires étrangères en est furieux.» Mém. secrets, XXV, 214 - P.E.
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. POLIT. MÉTIER - DDL 30, 1749, Collé ; TLF, GR[85], ø d.
• ministre d'État des affaires étrangères - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1690 - «M. de Pomponne, qui demeura dans ce poste de ministre d'Etat des affaires étrangères jusques vers la fin de l'an 1679 [...].» E. Spanheim, Relation de la cour de France en 1690, 299 (Picard, 1900)Note du commentateur en 1900 : "Spanheim emploie là une expression fausse, mais qui montre bien comment peu à peu le nom de ministre s'est substitué à celui de secrétaire d'Etat." - P.E.
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. POLIT. MÉTIER - DDL 30, 1749, Collé ; TLF, GR[85], ø d.
• ministre pour les affaires étrangères - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1690 - «[...] je ne parle ici des affaires publiques que par rapport à la part que M. de Croissy y peut avoir surtout par son département de ministre pour les affaires étrangères [...].» E. Spanheim, Relation de la cour de France en 1690, 367 (Picard, 1900) - P.E.
ministre des contributions et des revenus publics loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - «Ministre des contributions et des revenus publics : Son département est une division de celui du ministre de l'intérieur.» Gautier, Dict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre des Finances loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - DG, GLLF, L, PR[73], TLF, ø d.
1790 - «Ministre des finances : Qu'on n'accuse personne ; M. Necker n'a point eu d'acolyte, de second, il est seul la cause du malheur de la nation. Lui seul est l'Arimanne, ou le dieu du mal des françois.» Petit dict. des grands hommes (Paris) - LTP
ministre des finances loc. nom. m. MÉTIER POLIT. - DDL 11, 1790 ; L, DG, GLLF, TLF, Lex.[79], GR[85], ø d.
1771 - «MINISTRE. s.m. [...] le Contrôleur Général est quelquefois appelé Ministre des Finances.» Dict. univ. de Trévoux - TGLF
1785 - «Dans le 11 et le 12 chapitre, auquel il joint un supplement, l'Ex-Ministre des finances [Necker] parle des dettes de l'Etat [...] Mr. le Comte de Mirabeau dans sa réponse au Sieur de Beaumarchais et compagnie, avoue enfin que le Ministre des finances l'avoit appellé, invité, encouragé pour détruire l'agiotage [...]» Mém. secrets , XXVIII, 223 et XXX, 135 (Adamson) - P.E.
ministre plénipotentiaire loc. nom. m. POLIT. MÉTIER "agent diplomatique de rang immédiatement inférieur à celui d'ambassadeur" - TLF, 1834, Dumas ; FEW (6/II, 116a), GLLF, DHR, 1835, Acad. 1683, Bossuet, in GLLF, correspond à ministre, absol. ; cf. TLF
1756 - «Je suis dans la confidence de la nomination secrète du marquis de Valori à la place du ministre plénipotentiaire de France à la cour de Berlin [...].» R.-L. d'Argenson, Journal et mémoires, 200 - FXT
1757 - «La convention pour dix années entre le Roi & l'Electeur Palatin [...] a été signée [...] au nom de l'Electeur Palatin, par le Baron de Grevenbroch, son Conseiller d'Etat & son Ministre plenipotentiaire à la Cour de France.» Journal encyclopédique, 1er juill., 167 (Bouillon) - P.E.
1761 - «De GENES, le 24 Juin. Le 15, le sieur de Neuilly, ci-devant Envoyé Extraordinaire & Ministre Plénipotentiaire du Roi de France auprès de la République, partit pour retourner en France.» Mercure de France, août, 185 - P.E.
1786 - «[...] le sieur Eden, membre des conseils privés de notre très-cher et très-amé frère le roi de la Grande-Bretagne, et son envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire près de nous, également muni de son plein-pouvoir [...].» Traité, in Recueil général des anciennes lois françaises, XXVIII, 248 (Belin-Leprieur) - P.E.
1793 - «Copie de la let. du Lord Grenville. De Witte-halle, 24 janvier. Je suis chargé de vous notifier, monsieur, que le caractère dont vous étiez revêtu près du roi, venant d'être anéanti par la mort funeste de S. M. T. C., vous n'avez plus ici de caractère public [...] je prendrai toutes les mesures afin que vous puissiez sortir avec les égards dus au caractère de ministre plénipotentiaire que vous avez eu près du roi.» Journal des débats et des décrets, n° 134, 407 - P.E.
1815 - «Le sieur comte Gouvernet de la Tour du Pin, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis et de la légion d'honneur, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de Sadite Majesté près S.M. le Roi des Pays-Bas [...].» Traité de Vienne, in Annales maritimes et coloniales, II, 211 (Impr. royale) - P.E.
1821 - «Il a ajouté, à ma grande surprise, que, si MM. de Caraman et de La Ferronnays avaient suivi les empereurs d'Autriche et de Russie au congrès, ce n'était pas comme ambassadeurs auprès de ces puissances, mais comme ministres plénipotentiaires de la France auprès du congrès même.» A. de Chateaubriand, Correspondance générale, 16 janv., IV, 35 (Gallimard, 1977-86) - P.E.
vice (aller au -) loc. verb. non conv. PROSTIT. - FEW (14, 562b ; rég. Normandie), TLF, ø d.
1792 - «[...] je passai dans la rue St. Honoré, dans l'intention d'aller au vice pour appaiser la fureur où je m'étois mis ; voilà-t-il pas que je trouve près la porte du couvent des jacobins, une taupe, nommée Théroigne, que j'avois autrefois connue faisant des pratiques près de la halle au bled. Elle me racroche ; autant, dis-je en moi-même, en détacher avec celle-ci qu'avec une autre, et me laisse conduire.» [Le Père Duchêne de la rue Pavée], Le Père Duchêne nommé président du club des Jacobins, 3-4 - P.E.
1834 - «Le soir on me reconduit à mon hôtel en cérémonie, ce qui m'empêche d'aller au vice.» Mérimée, Corresp. gén., I, 327 (Le Divan) - P.E.
vice de forme loc. nom. m. DR. - TLF, 1804, Code civil ; L, GLLF (s.v. forme), 1865 ; GLLF (s.v. vice), 1872, Littré ; DG, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
*1830 - «L'avoué ayant eu l'occasion de découvrir des vices de forme dans la vente que la république avait jadis faite de l'hôtel de Grandlieu, prétendit qu'il devait être restitué à la vicomtesse.» Balzac, Les Dangers de l'inconduite, in Balzac, Scènes de la vie privée, t. I, 173 (Mame, Delaunay-Vallée et Levavasseur)orig. de Gobseck - M.C.E.
vice versa, vice-versa adj. d'apr. lat. PHRASÉOL. - FEW (14, 412a), R, 1700 ; L, 1807.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1418 - «[...] le conte d'Armaignac et autres ses favorisans, avoient esté publiquement denonciez pour excommeniez par les eglises et parroisses de Paris et en pluiseurs autres villes de ce royaume. Pareillement, vice versa depuis que les dessusdis après le departement du duc de Bourgongne entrerent et vindrent à Paris [...] furent fais de par le Roy pluiseurs edits, ordonnances, procès, bannissemens à l'encontre de pluiseurs qui par avant avoient favorisié et favorisoient ledit duc de Bourgongne.» Cl. de Fauquembergue, Journ., I, 190 (Renouard) - P.E.
Compl.GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77] (1536, Rab.)
1536 - «[...] le Pape n'aimoit guères le seigneur Rance et vice versa ledict Rance ne se fioit en luy [...]» Rabelais, Oeuvres complètes, let., 989 (Gallimard) - P.E.
vice-consul n.m. ADMIN. - TLF (viceconsul), 1567, Amyot ; AD, PR[73], BW5, 1653 ; ND3, 1700, Le Bruyn ; DG, FEW (2/II, 1093b), 1718 ; L, ø d.
*1598 - «J'apprins cecy au second voyage que ie feis en Chypre estant à Limisso logé en la maison du Vice-consul de France [...]» J. de Villamont, Voy. , livre 3, ch. 8, 536 ; cf. 558, 613 et 618 - R.R.
vice-consul n.m. ADMIN. - GLLF, 1595, Villamont ; DDL 10, TLF, Villamont, 1598 ; R, BW6, Lex.[75], PR[77], 1653 ; ND4, 1700, Le Bruyn ; DG, FEW (2, 1093b), 1718 ; L, ø d.
1591 - Liquidation des dettes de N. Borrilly, in P. Grandchamp, La France en Tunisie à la fin du XVIe s. (1582-1600), 114 (Tunis, 1920) - R. L. rom., 41, 424.
1592 - Délibération, in P. Grandchamp, La France en Tunisie à la fin du XVIe s. (1582-1600), 121 - R. L. rom., 41, 424.
vice-consulat n.m. ADMIN. HABITAT POLIT. "résidence, lieu d'activité du vice-consul" - TLF, 1832, Raymond ; GLLF, 1904, Lar. ; GR[85], ø d.
1719 - «[...] il demande que les Peres Capucins [...] seront maintenus & gardez en la possession de la Chapellenie du Vice-Consulat de Scio [...].» Le Nouveau Mercure, août, 83 - P.E.
vice-recteur n.m. ADMIN. ENSEIGN. MÉTIER "chef de l'Académie de Paris dont le recteur était le ministre de l'instruction publique" - FEW (10, 163a), L, ND3, PR[73], 1872 ; DG (néol.), ø d.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1868 - «RECTEUR, [...] Fonctionnaire placé à la tête de chacune des académies de l'Université ; à Paris, ces fonctions, exercées de droit par le ministre de l'instruction publique, sont déléguées à un vice-recteur.» Souviron, Dict. des termes techniques, 461 (Hetzel) - P.E.
vice-recteur n.m. ADMIN. ENSEIGN. MÉTIER "chef de l'Académie de Paris dont le recteur était le ministre de l'instruction publique" - DDL 12, 1868, Souviron [repris in GLLF, DHR, TLF] ; FEW (10, 163a), 1872.
1793 - «Le citoyen Forestier, comme principal de college, est soumis aux lois de l'Université ; (car il existe encore une Université.) le vice-recteur a ordonné le congé de la Saint-Charlemagne ; le principal a obéi au ordres du vice-recteur [...].» Gazette nationale, n° 34, 3 févr., 159c - P.E.
vice-royal adj. HIST. - TLF, cit. Hugo, 1822 ; L, FEW (10, 202b), 1870 ; GR[85] (rare), 20e.
1616 - «Que si d'auenture il n'auoit agreable de luy permettre de demeurer en la ville Vice-Royale, qu'il l'enuoiast en quelque autre lieu.» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault, Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine, 398 (Cardon) - P.E.
vice-tsar n.m. TITRE Russie"celui qui seconde le tsar" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• vice-czar - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1725 - «[...] je reçus des mains du Vice-czar Romadonoffsky (qui est mort depuis) une quarte entiere d'eau-de-vie.» F.-Ch. Weber, Nouv. mém. sur l'état présent de la Grande Russie ou Moscovie, I, 7 (Pissot) - J.S.
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