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non viable, non-viable adj. MÉD. LÉGALE - PR[77], 1970 ; Lex.[75], ø d ; absent TLF.
1826 - «Est réputé non VIABLE l'enfant qui naît avant les trois derniers mois de la grossesse [...] Est également réputé non viable l'enfant qui, parvenu au terme de la grossesse, naît anencéphale [...]» Chaussier, Mém. médico-légal sur la viabilité de l'enfant naissant, 29 (Compère Jeune) - P.E.
1877 - «NON-VIABLE. adj. [...] En médecine légale et en jurisprudence, se dit de l'enfant né sans être apte à parcourir les phases de la vie extra-utérine.» Littré et Robin, Dict. de méd., 1055 (Baillière) - P.E.
viable adj. ÊTRE "fig." - GLLF, GR[85] (cit.), 1831, Balzac ; FEW (14, 542a), v.1860, Proudhon ; Lex.[79], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1830 - «Comment le système aristocratique qui avait fait des progrès, dont il était susceptible, n'aurait-il pas prévalu ? S'il n'avait point donné à la société une forme régulière, forme qu'il ne pouvait plus atteindre, du moins était-il seul viable, seul capable de maîtriser les hommes, et de donner, à d'autres principes sociaux, le temps de reprendre haleine [...]» Cours de M. Guizot, in Gazette littéraire, numéro 13, 25 févr., 203a - P.E.