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vendeur à découvert loc. nom. m. BOURSE - TLF, cit. Le Monde, 1977.
1853 - «Un grand nombre d'escomptes arrivant à la fois peuvent donc, en forçant les vendeurs à découvert de se mettre en mesure, provoquer une hausse.» P.-J. ProudhonMan. du spéculateur à la bourse, I, ch. V, 84-85 (Garnier, 1854)1853 = dépôt légal - M.C.E.
1891 - «C'était l'invincible force, pouvoir rester vendeur à découvert, avec la certitude de toujours payer ses différences, jusqu'au jour où la baisse fatale lui donnerait la victoire.» ZolaL'Argent, ch. X, 347-8 (Charpentier) - M.C.E.
vendeur, vendeuse n.m.  et n.f. COMM.  "employé[e] de magasin" - GLLF, 1893, Dict. gén. [sic] ; DG, FEW (14, 233a), 1900 ; R, PR[77], fin 19e ; Lex.[75], TLF, ø d.
1882 - «[le soir] les vendeurs repliaient les étoffes et les caissiers comptaient la recette. [...] - Mademoiselle, finit-il par lui demander d'une voix balbutiante, vous êtes peut-être vendeuse dans la maison ? [...] Il [le directeur du grand magasin] intéressait désormais ses vendeurs à la vente de toutes les marchandises, il leur accordait un tant pour cent sur le moindre bout d'étoffe, le moindre objet vendu : mécanisme qui avait bouleversé les nouveautés, qui créait entre les commis une lutte pour l'existence dont les patrons bénéficiaient. » Zola, Au Bonheur des Dames, ch. I et ch. II, in Gil Blas , 20 déc., 1, col. 3 et col. 6 et 21 déc., 1, col. 5 - M.C.E.