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vanter (sans me -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - GLLF, av. 1825, Courier ; Lex.[79], cit. Sarraute ; GR[85], TLF, ø d.
1799 - «C'est que, sans me vanter, de ce côté-là, je suis ben tranquille au poste.» [R.F. Lebois], Le Père Duchêne, [numéro 2], 3 - P.E.
vanter (sans me -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - GLLF, av. 1825, Courier ; Lex.[79], cit. Sarraute ; GR[85], TLF, ø d.
• ce n'est pas pour me vanter - TLF, cit. Zola, 1897
1808 - «SAINT-FIRMIN. Ah ! jarni ! c' n'est pas pour m' vanter ; mais, j' savons mettre à profit le tems [...]» Francis et Moreau, Haine aux hommes, 16 (Barba) - P.E.
1811 - «RICOCHET. [...] Ce n'est pas pour me vanter, voilà dix mariages que je manque. J'espère que celui d'aujourd'hui ne manquera pas. Ce serait bien le diable, si, en courant après les quatre soeurs, il n'y en avait pas une d'attrapée.» Ourry, Les Hommes femmes, 15 (Masson) - P.E.
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