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doré sur tranche loc. adj. ARGENT  "luxueux" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1809 - «Mangeuse de soupe à la Rumfort ! dépateuse de caleçons dorés sur tranche LeclairLes Méditations d'un hussard, 24.
1841 - «Le Louvre du sieur Jabutot me paraît assez doré sur tranche... aristocratie de faubourg, ça donne des fêtes... à la Castellane.» Dumersan et DupeutyLa Descente de la Courtille, I, vi - M.P.
fraise (- de veau) n.f. BOUCH. - ND3, 1390, Taillevent ; DG, Gc, GLLF, 14e, Taillevent ; BW5, FEW (3, 778b), 14e ; L, ø d.
• fraise de veel
  - TLF (fraise de Veel), v. 1300, Viandier (même texte).
v. 1300 - «Fraise de veel [...]» Viandier valésan, 89 - Fr. mod., 42, 280.
jarret de veau loc. nom. m. BOUCH. - TLF, cit. Gide, 1911 ; FEW (7, 492a), GLLF, GR[85], ø d.
1605 - «Soupé : "Doné moy de ce que j'aime tan (tant)", c'estoit du gras blanc qui estoit au jarret de veau ; il ne y avoit que de la poictrine, n'en vouloit point ; en fin on luy dict qu'il ne y avoit pas de ce qu'il demandoit, se paie de raison et mange.» J. HéroardJourn., 1, 785 (Fayard) - P.R.
noisette de veau loc. nom. f. CUIS. - TLF, cit. Carême, 1822.
1822 - «Noisette de veau Maître d'hôtel fr., I, 101 - Rouvier, 399.
pain de veau loc. nom. m. CUIS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1716 - Cuisinier royal et bourgeois, II, 1 - Rouvier, 399.
pied-de-veau n.m. BOT. - FEW (8, 300a), GLLF, PR[73], 1550, Fousch ; Hu, O. de Serres ; L, TLF, ø d.
Add.DDL
*1546 - «[...] l'vne d'entr'elles nommee Geusie, cueillit vne fueille de blanc ou Iaulnet d'eau, que les Grecz nommet Nymphea, & les barbares Nenuphar : vne d'Amelle, & vne racine de Pied de veau, autremet appellee Aron [...]» J. Martin, trad. : [F. Colonna]Discours du songe de Poliphile, f°29 r° (Club des Libr. de France) - P.E.
pied-de-veau n.m. BOT. - DDL 12, 1546, J. Martin ; FEW (8, 300a), R, GLLF, Lex.[75], PR[77], 1550, Fousch ; Hu, O. de Serres ; L, ø d ; TLF, cit. Codex, 1884.
15e - Grant herbier, numéro 236 - R. L. rom., 42, 452.
1539 - L. DuchesneIn Ruellium de Stirpibus Epitome, aij recto (Parisiis) - R. L. rom., 42, 452.
tranche n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «On peut aussi modifier légèrement sa direction en appuyant sur la tranche du ski du même côté [du côté où l'on tend à obliquer].» R. alpine, 76 - M.J.
tranche n.f. PHONÉT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1894 - «Sans prétendre ici s'affranchir complètement de la terminologie imposée, on peut employer [à la place de syllabe, qui ne convient pas] le terme de tranche intonable (ou tranche vocalique, les deux choses s'équivalant en fait, si la définition de voyelle est conçue d'une certaine manière), ou tranche tout court, par abréviation.» Saussure, A propos de l'accentuation lituanienne, in SaussureRecueil, 491 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
tranche (s'en promettre une -) loc. verb. non conv.  AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLFse payer une tranche de : FEW (13/II, 278b), 1920, Bauche ; TLF, cit. La Varende, 1959 ; s'en payer une tranche : PR[72], ø d.
1880 - «J'espère aller à Paris [...] Martin me dit que les pommes y sont bien tendres, mon couteau en salive rien que d'y penser, aussi je m'en promets une rude tranche s'il n'est pas émoussé d'ici là. Pauvre lame ! elle en a vu de grises avec tous ces fruits flapasses et malsains de Londres !...»V. Richard, let. à Vallès, 5 mai, 340 (Delfau) - J.Q.
tranche brève loc. nom. f. PHONÉT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1894 - «Ces deux voyelles ont, en effet, pour première propriété, selon Kurschat, d'être brèves, et constamment brèves. Tranche brève étant synonyme de tranche non intonable, il ne saurait être question pour elles d'une intonation quelconque [...]» Saussure, A propos de l'accentuation lituanienne, in SaussureRecueil, 501 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
tranche de vie loc. nom. f. LITT. - GR[85], 1892, J. Jullien ; TLF, cit. Renard, 1895 ; FEW (13/II, 278b), GLLF, 1923, Lar.
*1910 - «Les sept défauts des romans japonais contemporains [...] 1° Les romans d'aujourd'hui se bornent à servir d'indigestes 'tranches de vie' [...]» Mercure de France, 83, n° 303, 1er févr., 572 - M.C.
tranche intonable loc. nom. f. PHONÉT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1894 - «Sans prétendre ici s'affranchir complètement de la terminologie imposée, on peut employer [à la place de syllabe, qui ne convient pas] le terme de tranche intonable (ou tranche vocalique, les deux choses s'équivalant en fait, si la définition de voyelle est conçue d'une certaine manière), ou tranche tout court, par abréviation.» Saussure, A propos de l'accentuation lituanienne, in SaussureRecueil, 491 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
tranche non intonable loc. nom. f. PHONÉT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1894 - «Ces deux voyelles ont, en effet, pour première propriété, selon Kurschat, d'être brèves, et constamment brèves. Tranche brève étant synonyme de tranche non intonable, il ne saurait être question pour elles d'une intonation quelconque [...]» Saussure, A propos de l'accentuation lituanienne, in SaussureRecueil, 501 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
tranche vocalique loc. nom. f. PHONÉT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1894 - «Sans prétendre ici s'affranchir complètement de la terminologie imposée, on peut employer [à la place de syllabe, qui ne convient pas] le terme de tranche intonable (ou tranche vocalique, les deux choses s'équivalant en fait, si la définition de voyelle est conçue d'une certaine manière), ou tranche tout court, par abréviation.» Saussure, A propos de l'accentuation lituanienne, in SaussureRecueil, 491 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
tranche-montagne n.m. CARACT. "fanfaron" - TLF, av.1573, L'Hospital ; Hu, FEW (13/II, 283b), GLLF, 1611, Cotgr. ; Gc, Cotgr.
*1596 - «[...] c'est bien faire du braue, du taille canton et tranche montaigne R. MortierLe "Hochepot ou Salmigondi des folz", 125 (Bruxelles, Palais des Académies) - P.E.
Compl.DHR (même date, ø réf.)
*1608 - «Puis ses parens sont là, lesquels ne manquent point / De Rolans, fier à bras et de trenche-montagne / Qui luy feront bientost mesurer la campagne [...]» Sonnet de CourvalSatyre Menippée, 74 (Impr. Mertens) - P.E.
veau n.m. arg.  ARG. MILIT.  COST. MILIT.  "sac" - E, 1862 ; absent TLF.
1832 - «[...] allons, Pacot, on dirait que ton veau (sac) t'a coupé la musette (parole) ! - As-tu payé ton pouf (dette) ? - Va t'y faire mordre.» JeancourtCrac ! Pchcht !! Baounhd !, I, 198 (Renduel) - P.E.
veau (crier/pleurer comme un -) loc. verb. non conv.  EXPRESS.  - pleurer - : FEW (14, 546b), DELF, 1643, Scarron ; GLLF, 1648, Scarron ; L, cit. Scarron ; R, cit. Flaubert ; DG, Lex.[75], PR[77], ø d ; crier - : R, GLLF, TLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1606 - «Maistre Guillaume le recogneut, et criant comme vn veau luy dit, c'est moy, c'est moy de par le diable mon amy, tes fortes fiebures quartaines c'est moy [...] L'vn commence à rire comme vn fol, et l'autre à pleurer comme vn veau : ie fus tout estonné de ceste façon de faire.» La Rencontre merveilleuse de Piedaigrete avec maistre Guillaume , 6 et 11 (s.l.) - P.E.
veau (faire le -) loc. verb. non conv. CARACT. "rester bêtement en attente" - absent TLF. "faire le nigaud" : L, FEW (14, 546b), Sat. Mén. ; BEI, 1640, Oudin ; "s'étendre nonchalamment" : FEW, GLLF, DEL (cit.), GR[85] (cit.), 1668, La Fontaine.
1567 - «TAILLEBRAS. Faudra-il qu'icy je demeure / Cependant à faire le veau, / Moy, qui suis si brave et si beau ? / Me donnes-tu cette cassade ?» BaïfLe Brave, 169 (Droz) - P.E.
veau qu'on mène à l'abattoir (geindre comme un -) loc. verb. non conv.  EXPRESS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1885 - «Dès qu'il aperçut son colonel, il se mit à geindre comme un veau qu'on mène à l'abattoir en criant : Mon col'nel, mon col'nel, on r'fuse d'me soigner, on veut m'faire mourir.» G. FrisonLes Aventures du colonel Ronchonot, 614 (s.l.n.d.) - G.S.