Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
académico-littéraire adj. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1919 - «La synonymie de fermer la discussion avec la clore [...] a été 'solutionnée' actuellement en faveur de clore, sous une influence académico-littéraire, qui refoule la transparence de la nouvelle étymologie [...]» J. GilliéronLa Faillite de l'étymologie phonétique, 21 (Neuville, Suisse, Beerstecher) - J.S.
alpino-littéraire adj. ALP.  LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1909 - «Une curiosité alpino-littéraire [...]» La Montagne, numéro 8, août, 504 - C.T.
anthropo-littéraire adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «Programme anthropo-littéraire. - Trouver les modulations bonnes pour unir dans le même ouvrage les différentes activités - styles, moments d'un esprit - le mien [...]» ValéryCahiers, t.1, 823 (Ed. du CNRS, 1957) - J.S.
anti-littéraire adj. LITT. - Mat., 1840, Balzac ; absent TLF.
1760 - «[...] elle [mademoiselle Vadé] a pris vivement le parti du Journal encyclopédique contre L'Année littéraire, ou anti-littéraire Voltaire, let. à Pierre Rousseau, 27 août, in VoltaireCorresp., vol. 5, 1077 (Pléiade, 1980) - J.S.
antélittéraire, anté-littéraire adj. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
v. 1880 - «M. Bréal suppose ici que les lois phonétiques indo-européennes des temps anté-littéraires ont pu être essentiellement différentes de celles qui ont prévalu plus tard et que nous connaissons.» P. RegnaudOrigine et philosophie du langage, 155 (Fischbacher, 1888) - J.S.
1929 - «Le changement de dl en l appartient à l'époque antélittéraire de l'histoire de la langue russe.» R. JakobsonRemarques sur l'évolution phonologique du russe, 105 (Prague, Impr. de l'Etat) - J.S.
champêtro-littéraire adj. AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Le sus-développé accès de lyrisme champêtro-littéraire m'a pris, l'autre samedi, à midi 47, à la station des tramways de Villejuif dont les baraquements crasseux ont poussé le long des grilles du square Saint-Jacques. [...] D'où ma crise champêtro-littéraire [...]» R. mensuelle Touring-Club de France , janv., 2a et 2b - G.S.
clandestino-littéraire adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1851 - In titre : J.A. CometSeconde let. à René en réponse à l'accouchement clandestino-littéraire de M. Coup dur (Pau, Tonnet) - J.Hé.
co-texte n.m. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1979 - «Je vais rappeler brièvement quelques notions de communication. Tout message comporte à la fois un co-texte et un non-texte. Le co-texte est la partie explicite, le non-texte celle qui préside à l'acte de parole, il est implicite.» M. FrumholzL'Epineux problème de la lecture, 53 (Mémoire présenté à Nancy I) - Y.G.
couverture littéraire loc. nom. f. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1878 - «Autre chose. Je cherche avec deux ou trois amis, à fonder un journal hebdomadaire à couverture littéraire, dans le genre de la Rive Gauche ou de la Rue.» E. Gautier, let. à Vallès, 11 janv., 160 (Delfau) - J.Q.
extra-littéraire adj. LITT. - TLF, cit. Murger, 1851.
*1923 - «J'ai dit que M. Thérive m'avait accusé de manoeuvres extra-littéraires. M. Thérive le nie [...]» L. Fabre, let., 22 déc., in NRF, n° 125, févr., 260 (1924) - P.E.
*1925 - «[...] son désir de servir les Lettres sans transiger avec aucune considération extra-littéraire V. Larbaud, in NRF, n° 139, avr., 505 - P.E.
*1926 - «Le spectacle a droit à sa place au soleil et ses auteurs aux louanges et au succès, mais dans leur domaine éphémère et extra-littéraire B. Crémieux, in NRF, n° 155, août, 236 - P.E.
*1942 - «Que M. Kléber Haedens puisse écrire que Rainer Biemel occupe une place de premier rang parmi les jeunes poètes restera incompréhensible pour nous, à moins qu'une telle opinion ne repose sur des bases extra-littéraires...» R. Tavernier, in Confluences, n° 10, mai, 501 - P.E.
fantastico-scientifico-phono-littéraire adj. plais. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1888 - «Aujourd'hui, Rosny m'effraye par ses imaginations de livres où il veut faire voir des aveugles avec un sens frontal, entendre des sourds au moyen de l'électricité, etc., etc. une série de livres fantastico-scientifico-phono-littéraires, un peu inspirés par Poe.» E. et J. de GoncourtJourn., t.3, 19 févr., 757 (Flammarion, 1959) - TGLF
film-texte n.m. CIN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «Pour nous : travail actif, forcené de cette indécidabilité même. Voies inexplorées jusqu'alors vers un film-texte infini et inoui [...]» J. Farges, in Marguerite Duras, 129 (Albatros) - RL.W.
génotexte, géno-texte n.m. SÉMIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1973 - «L'écriture à haute voix, elle, n'est pas expressive ; elle laisse l'expression au phéno-texte, au code régulier de la communication ; pour sa part elle appartient au géno-texte, à la signifiance [...]» R. BarthesLe Plaisir du texte, 104 (Seuil) - AFC
1975 - «Elle [Julia Kristeva] utilise, à ce propos, deux autres termes, ceux de géno-texte (le sémiotique) et de phéno-texte (le symbolique) : 'Le géno-texte se présente ainsi comme la base sous-jacente au langage que nous désignerons par le terme de phéno-texte.'» L.-J. CalvetPour ou contre Saussure, 105 (Payot) - Y.G.
1975 - «GENOTEXTE n.m. Linguist. En sémiologie, structure profonde d'un texte ou énoncé long.» Grand Lar. encycl., Suppl. 2.
littéraire n.m. CARACT.  "par ext." - PR[72], TLF, ø d.
1877 - «Si dans une conférence j'aborde hardiment la politique pour ne pas être simplement un littéraire, le but que vous vous proposez est manqué [...]»Vallès, let., nov., 153 (Delfau) - J.Q.
méta-texte n.m. LING.  LITT. - DDL 24 (Rép.), 1975 ; absent TLF.
1970 - «Texte métaphore de lui-même, simultanément texte et 'méta-texte' ; ainsi se crée un enchevêtrement de plus en plus complexe.» C. Veschambre, in Poétique, numéro 1, 75 - P.E.
1972 - «Cette constatation n'abroge pas la nécessaire référence de toute critique littéraire au dehors du texte (contexte, hors-texte, méta-texte) [...]» R. LauferIntrod. à la textologie, 6 (Larousse) - P.E.
non-texte n.m. SÉMIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1969 - «Si la lecture précède en quelque sorte les décisions et les caractérisations formelles objectives du tableau c'est que sa forme, sa 'structure' n'existent pas, sinon comme sollicitation du référent (c'est-à-dire comme non-texte) - et ceci a d'ailleurs entraîné de nombreuses réflexions sur la 'nature tautologique' du signe pictural.» J.-L. Schefer, in Les Let. fr., 6 août, 27 - AFC
1979 - «Je vais rappeler brièvement quelques notions de communication. Tout message comporte à la fois un co-texte et un non-texte. Le co-texte est la partie explicite, le non-texte celle qui préside à l'acte de parole, il est implicite.» M. FrumholzL'Epineux problème de la lecture, 53 (Mémoire présenté à Nancy I) - Y.G.
phénotexte, phéno-texte n.m. SÉMIOL. - TLF, cit., 1969.
*1973 - «Il paraît que les érudits arabes, en parlant du texte, emploient cette expression admirable : le corps certain. Quel corps ? Nous en avons plusieurs ; le corps des anatomistes et des physiologistes, celui que voit ou que parle la science : c'est le texte des grammairiens, des critiques, des commentateurs, des philologues (c'est le phéno-texte).» R. BarthesLe Plaisir du texte, 29 ; cf. 104 (Seuil) - AFC
*1975 - «Elle [Julia Kristeva] utilise, à ce propos, deux autres termes, ceux de géno-texte (le sémiotique) et de phéno-texte (le symbolique) : 'Le géno-texte se présente ainsi comme la base sous-jacente au langage que nous désignerons par le terme de phéno-texte.'» L.-J. CalvetPour ou contre Saussure, 105 (Payot) - Y.G.
*1975 - «PHENOTEXTE n.m. [...] Linguist. En séméiologie, nom donné au texte que révèle une simple lecture.» Grand Lar. encycl., Suppl. 2.
*1982 - «[...] le phéno-texte pourra être défini comme 'l'aspect sous lequel le texte se présente, la formule de la signifiance dans la langue naturelle'.» Cité par M. Arrivé, in Sémiotique, 146
scientifico-littéraire adj. LITT. - TLF, cit. Goncourt, 1889.
*1890 - «C'est vrai, le vocable ratiocination revient à tout moment dans son parlage, en compagnie de mots prétentieusement incompréhensibles, comme légende sceptique pour définir un de ses futurs livres scientifico-littéraires, comme psychologie de la couleur, pour exprimer la qualité de la couleur que j'ai apportée dans mes livres. [...] Et comme le mot de mon frère sur Feuillet : Feuillet, le Musset des familles, m'en apprend plus sur le talent du romancier de l'impératrice que quarante-cinq pages de critique scientifico-littéraire E. et J. de GoncourtJourn. , t.3, 806 et 994 (Flammarion, 1959) - TGLF
scéno-texte n.m. CIN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «La synchronie du système des scéno-textes pose comme élément fondamental la diachronie. C'est-à-dire, je le répète : le procès.» Cahiers du cinéma, 185, 82 - G.L.
sleeping littéraire loc. nom. m. LITT. "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Oui. Seulement au cas où le bon prêtre ne serait pas très au courant du dernier sleeping littéraire, afin d'éviter d'inutiles présentations explicatives et pour le mettre au fait tout de suite, prenons notre stylo et posons notre titre. Et il écrit : Homme de lettres [...]» H. BoscoPierre Lampédouze, 179 (Crès) - J.C.
supra-littéraire adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1953 - «Le miracle de cette transmutation fait du style une sorte d'opération supra-littéraire, qui emporte l'homme au seuil de la puissance et de la magie. Par son origine biologique, le style se situe hors de l'art, c'est-à-dire hors du pacte qui lie l'écrivain à la société.» BarthesLe Degré zéro de l'écriture, 15-16 (Gonthier, 1965) - J.S.
violence (faire - à [un texte, à une loi]) loc. verb. DR. "interpréter d'une manière forcée, tendancieuse" - TLF (d'une doctrine), 1625, Naudé ; FEW (14, 487a), GLLF, DHR, 1670, d'apr. Rich.
1566 - «A quoy si quelquesfois je vien mesler ensemble / Quelque poinct circonstant, cela (comme il me semble, / Si l'Escriture saincte on confere de faict) / Ne tort ne violence à l'histoire ne fait L. Des MasuresTragédies saintes, 9 (Cornély, STFM, 1907) - P.E.
érotico-littéraire adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1958 - «Avant 1841, son nomadisme [de G. de Nerval] érotico-littéraire se disperse en minutes brillantes et isolées ; ce n'est que lentement qu'il deviendra fonction poétique [...]» G. Bounoure, Sophianité de Gérard, in La Tour Saint-Jacques, n°13-14, 93 - J.S.