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tamponnoir n.m. ALP. - TLF, cit. La Montagne et alpinisme, 1958 (même texte) ; [RSp. : s.v. gollot, in déf., ø d] ; in Ga [1970] pour percer un mur : GR[85], 1904 ; FEW (17, 310a), 1907, Lar.
1958 - «Environ 200 pitons (dont une quinzaine au tamponnoir) ont été enfoncés et, en presque totalité, laissés.» La Montagne et alpinisme, numéro 19, oct., 284 - C.T.
*1959 - «Un trou de même grosseur est percé au tamponnoir et le piton rentre à force. [...] Puis les fissures disparaissent. Quelques petits trous me font gagner encore trois ou quatre mètres et le tamponnoir fait son apparition. Les heures passent, la fatigue reste. Tamponner à gauche et en surplomb est extrêmement pénible pour un droitier. Il faut absolument passer ce toit. Peut-être y aura-t-il au-dessus une bonne fissure ?" » La Montagne et alpinisme, numéro 21, févr., 5 et numéro 25, déc., 147 - C.T.
*1960 - «Contrairement aux voies suisse et française de la Cima Ovest qui sont de plus en plus équipées, la voie allemande de la Cima Grande se 'déséquipe'. Beaucoup de grimpeurs, en faisant des chutes, ont cassé des pitons, notamment des pitons à expansion, tant et si bien qu'aujourd'hui, sans tamponnoir, on se trouve devant de très grandes difficultés.» La Montagne et alpinisme, numéro 30, déc., 332 - C.T.
*1965 - «Le matériel alpin s'est perfectionné. Récemment introduits dans notre arsenal, les gollots tubulaires à couronne dentée, faisant eux-mêmes office de tamponnoirs, permettent de franchir les toits lisses.» La Montagne et alpinisme, numéro 53, juin, 85 - C.T.