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courroie de suspension loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «L'alpiniste aussi rencontre fréquemment des difficultés de terrain, de la glace ou du rocher, qui l'empêchent d'utiliser ses skis. Dans ce cas on se sert d'une courroie de suspension. [...] Il faut parfois quitter les skis, chausser des crampons et tailler des marches ; dans ce cas, on attache ensemble les skis avec la courroie de suspension, et on les porte en bandoulière, toujours placés du côté de la montagne [...]» F. Achard, trad. : Paulcke,  Man. de ski , 66 et 126 (Berger-Levrault) - M.J.
lampe-suspension n.f. ÉCON. DOM.  ÉLECTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1978 - «Une lampe-suspension éclairait le milieu de la table, resplendissante [...]» Genevoix, Lorelei, 141 (Seuil) - A.Ré.
suspension n.f. MÉD.  "état d'un membre soutenu par un appareil et immobilisé dans une certaine position" - TLF, 1835, Journ. de méd. et de chir. pratiques (même texte) ; FEW (12, 472a), 1907, Lar.
1835 - «Parmi les nombreuses modifications apportées et consignées dans cet ouvrage par l'auteur /Mathias Mayor, médecin à Lausanne/ à la thérapeutique chirurgicale, nous ne nous occuperons aujourd'hui que du traitement des fractures par la suspension [...]»Journ. de méd. et de chir. pratiques, VI, 244 - C.H.
*1845 - «L'appareil à suspension, conseillé par M. Sauter de Constance, a été appliqué par M. Mayor à tous les cas de fractures des membres inférieurs et des membres supérieurs compliquées de plaies.»A. Jamain, Man. de petite chir., 526 (4e éd.) - C.H.