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croquemort-party n.f. plais. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1979 - «Il a raison, Jean-Paul, on serait au risque qu'il nous glisse entre les pattes... aille se répandre sur la route, se briser son pardingue en sapin déjà bien vermoulu. Je m'en ressens pas de le rafistoler sous la flotte, ça me suffit comme ça les croquemort-party !» A. Boudard, Le Corbillard de Jules, 16 (La Table Ronde) - K.G.
effet surprise, effet-surprise n.m. ÉVÉN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1966 - «Ceci bien sûr strictement entre le clan, vous et moi, il faut que l'effet-surprise soit maximum... ne pas le dire à son ombre !» A. Sarrazin, Let. de la vie littéraire, 11 oct., 265 (Pauvert, Livre de poche, 1974) - K.G.
1984 - «Pour un dépannage, utilisez de l'eau minérale et pour 'l'effet surprise', rafraîchissant, le pschitt en bombe d'eau minérale [...]» J. Le Nedic, in 20 ans, sept., 54 - AFC
garden-party n.f. d'apr. angl. VIE SOC. - ND4, 1882, Gil Blas ; FEW (18, 66b), R, GLLF, BW6, Lex.[75], PR[77], TLF, 1885, Bonnaffé.
*1883 - «[...] les bals, les réceptions, les fêtes de charité, les assauts d'armes, les courses et les garden-parties, sans oublier les vendredis de l'Hippodrome et les samedis du Cirque [...] L'amélioration de la santé de Monsieur le comte de Chambord a rendu un peu d'espérance et de gaîté au faubourg Saint-Germain, qui avait décommandé toutes les garden parties devant avoir lieu dans les châteaux et villas.» Le Triboulet , 20 mai, 6 a et 5 août, 11a - G.S.
pipi-party n.f. non conv. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «En attendant, nous allons nous faire du jus de poireaux [...] Ça va vous laver les reins [...] Je voulais sonder les reins et les coeurs, et me voilà invitée à une pipi-party.» A. Sarrazin, La Cavale, 188 (Pauvert, Livre de poche) - K.G.
prime-surprise n.f. SPORTS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «F. et A.V.S. bondirent sur sa roue, dans l'espoir évident d'enlever la prime-surprise dont le signal venait d'être donné.» Les Sports, 14 juill. - Lapaille, 27.
puce-party n.f. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «En ce qui concerne le lieu commun qui veut que les femmes parlent volontiers chiffons, nous avons longuement hésité avant de faire l'écho de cette vue de l'esprit. Mais nous sommes revenu [sic] sur cette réticence après avoir assisté [...] à une 'puce-party', c'est-à-dire à cette institution nouvelle consistant en une réunion d'amies qui rassemblent leurs garde-robes pour s'en céder mutuellement les surplus [...]» R. Beauvais, Le Français kiskose, 87 (Fayard) - K.G.
spaghetti party, spaghetti-party n.f. LOISIRS  US. ALIM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «LE CARNET DE VOGUE UNE AMUSANTE SPAGHETTI-PARTY A DEUX PAS DE PARIS, LA NUIT DES MINI-BOLIDES [...]» Vogue, oct., 93 - AFC
1979 - «A partir de 20 h, tous les vendredi et samedi. 'Spaghetti Party' GRATUIT le dimanche.» Actuel, 8 mars, 1, Publ - AFC
1985 - «Un homme politique très influent organise chez lui une spaghetti-party ruineuse pour ses invités.» Le Nouv. Observateur, 11-17 oct., 49 - K.G.
suicide-party n.f. non conv. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «C'est pas le mec qui m'a rendue folle ! c'est ma mère ! elle a dit que j'étais une putain [...] et après, la petite, elle a fait une suicide-party ratée [...]» V. Thérame, Hosto-blues, 269 (Ed. des Femmes) - K.G.
surprise n.f. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. surprise, en appos. : - TLF (mariage--), cit. Montherlant, 1937 ; GLLF, DMC (actions--), 1966, Le Monde ; GR[85] (dévaluation--), 1969, L'Express.
1967 - «Mon amie chérie, Reprenons comme promis la petite causette-surprise d'hier [...] Et, crois-moi, si je ne t'ai pas donné de nouvelles c'est que je ne pouvais pas !» A. Sarrazin, Let. et poèmes, 6 juill., 106 (Pauvert, Livre de poche, 1967) - K.G.
surprise n.f. CONFIS. "pochette surprise, cornet de friandises" - FEW (9, 351a), GLLF, TLF, 1842, Mozin-Biber ; DHR, ø d.
1803 - «C'est là [rue des Lombards] que le sucre, depuis deux siècles, se combine de mille manières pour piquer la sensualité friande : c'est là que le carton, s'amollissant sous les doigts, prend mille formes variées, pour, sous le nom de surprises, et toutes ses cavités remplies d'excellens bonbons, devenir des étrennes sans conséquence. Nous devons dire cependant, que depuis la Révolution [...] la friandise trouve mieux son compte dans les bonbons en sacs, que dans ceux en surprises.» Almanach des gourmands, 1, 195 - P.R.