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surprenant n.m. ÉVÉN. - TLF, 1660, Corneille ; GLLF, 1925, Gide ; GR[85], cit. Gide, 1927.
*1773 - «Enfin de mètre dans ses compositions plus de faits que de morale ; & du surprenant, du frapant, sans sortir de la nature .» Restif de La Bretonne, Le Ménage parisien, part. 2, ch. 22, 254-5 (Coll. 10/18, 1978) - R.R.
*1775 - «Voilà du surprenant, de l'étrange, cher aîné ! moi, qui comptais que ma soeur allait assurer mon mariage avec M.elle Manon, en gagnant son amitié, celle de sa mère...» Restif de La Bretonne, Le Paysan perverti, part. 1, let. 24, 100 (Coll. 10/18, 1978) - R.R.
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