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lèse-Bacchus (crime de -) loc. nom. m. plais. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «J'ai ri aux éclats en apprenant ton réveillon. Mais comment ça 'pas de poivrade' ? Vous étiez malades ou quoi ? Je veux bien te croire sur parole, mais alors une chose m'intrigue : quoi, dans les verres ? Du Perrier avec des ronds de citron ? Un crime de lèse-Bacchus [...]» A. Sarrazin, Let. à Julien, 4 janv., 46 (Pauvert, Livre de poche, 1973) - K.G.
suppôt n.m. CRIMES "partisan du diable, serviteur d'une mauvaise cause" - FEW (12, 450a), GLLF, D'Aub. ; GR[85], fin 16e ; absent TLF.suppost du diable : TLF, DHR, 1611, Cotgr. ; - de satan : FEW, GLLF, DHR, 1662, Mol.
1566 - «SATAN [...] Ainsi depuis que l'homme encontre Dieu meffit, / Je fay à travailler un merveilleux profit. / Ainsi faut-il que moy, et mes malheureux anges, / Et mes supposts acquis, par tous moyens estranges, Cerchions de profiter [...].» L. Des Masures, Tragédies saintes, 118 (Cornély, STFM, 1907) - P.E.
suppôt de la police loc. nom. m. péjor. POLICE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1790 - «suppôts de la police : De quelle classe de citoyens les tirait-on : Problème à résoudre avant de faire l'article.» Mr de L'Epithète, Dict. national et anecdotique, Append. (Paris) - LTP
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