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fraises n.f. pl. non conv.  TEMPS  "repère chronol." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.aux fraises : DDL 2, PR[77] (cit.), 1957, Deval
1737 - «Rudepogne. C'est que vous avez oublié que not' neveu, le passeux, vous a demandé à votre mère, il y a, viennent les fraises, un an [...]» Carolet, L'Assemblée des poissardes, in A.P. Moore, The Genre poissard and the French Stage, 395 (Institute of French Studies) - P.E.
1749 - «Notre été au théâtre françois s'est passé assez mesquinement. Depuis les fraises jusqu'aux mûres nous n'y avons fait d'autres récoltes que Nannine et les Amazônes [...]» Piron, Let. à Jean-François Le Vayer, 28 (Gaultier et Thébert) - P.E.
fraises (aux -) loc. adv. non conv.  TEMPS  "repère chronol." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1957 - «Alors j'ai pris feu. - Pour les quatre ? - Non, pour la plus jeune. Dix-huit ans aux fraises ! et mignonne comme une poupée.» Deval, La Prétentaine, I - D.B.
1959 - «Trente-huit ans aux fraises ! C'était joli, convenez-en.» Anouilh, L'Hurluberlu, I - D.B.
sucrer v. SUCR. 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1719 - «[...] la Cassonnade sucre plus que le Sucre en Pain ou Rafiné, le Sucre en Pain sucre plus que le Roial.» [Quelus], Hist. nat. du cacao et du sucre, 180 (D'Houry) - P.E.
*1808 - «Mais qu'importent ces différences, lorsqu'elles remplissent cet objet principal, de sucrer ; car en dernière analyse, c'est-là ce qu'on veut en obtenir.» A.-A. Cadet de Vaux, Mém. sur la matière sucrée de la pomme, 41 (Colas) - P.E.
sucrer (qqn) v.tr. US. ALIM.  "donner du sucre à qqn" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1827 - «En disant cela elle lui présente gracieusement la tasse sans sucre ; sert ensuite de la Haye et moi en nous sucrant copieusement, puis elle remplit sa propre tasse à l'instar de celle de Dubois.» Mém. de Jacques Casanova de Seingalt, t. 3, ch. 4, 89 (Bruxelles, Libr. Rozet, 1826-38) - R.R.