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subordonné n.m. ORGAN. POUVOIR "personne placée sous l'autorité d'une autre" - TLF, 1797, La Pérouse ; FEW (7, 399a), GR[85], 1829 1690, Fur., in GLLF, correspond à l'adj.
1736 - «[...] si celui qui n'est que supérieur fait trop le maître, la femme ou le subordonné n'en remplissent pas moins leurs devoirs, mais ils les remplissent sèchement, et ne vont jamais au-delà des bornes prescrites.» Le Maître de Claville, Traité du vrai mérite de l'homme, 117 - FXT
1759-94 - «Le Roi avait essayé vainement de tirer quelques secours d'argent du Roi d'Espagne ; l'Impératrice avait tout aussi infructueusement tenté, la même démarche : la mauvaise volonté que mettait [sic] le contrôleur général et ses subordonnés à trouver des ressources forçait, malgré qu'on en eût, à ces fausses démarches [...].» F.-J. de Pierre de Bernis, Mém. du cardinal de Bernis, part. 3, ch. 6, 298-9 (Mercure de France, 1980) - R.R.
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