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après-vente (service -) loc. nom. m. COMM. - DMC, cit. Le Monde, 1965 ; PR[77], av. 1969 ; TLF, cit. L'Express, 1976 ; Lex.[75], ø d.
1964 - «Toute marque sérieuse garantit ses appareils de façon authentique (par écrit) et dispose d'un réseau de concessionnaires pourvus d'un service 'après-vente'.» Elle, 12 nov., 160 - M.Sc.
carbu (station -) loc. nom. f. non conv. AUTOM. COMM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1978 - «Carbu [...] (apocope de) carburants, dans station carbu [...]» Dico-Plus, numéro 8, 9 - K.G.
demi-service n.m. ORGAN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1870 - «Toutes les administrations à commencer par celle de la guerre [...] s'étaient retirées et avaient fermé leurs portes ; depuis hier le danger ayant l'air moins imminent on a rétabli un demi-service.» M. Cottier, let., 17 déc. (Tours) Arch. nat., 44 AQ 4 - J.Hé.
escalier de service loc. nom. m. HABITAT - FEW (11, 544a), GLLF, 1842, Compl. Acad. ; L, DG, ø d ; R, cit. Proust ; Lex.[79], PR[82], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1840 - «GODET. C'est que ça se trouverait bien. Nous en avons un, au premier, à louer pour le terme : huit pièces, cave, grenier, etc. ; deux escaliers, celui-ci (Il indique le grand escalier.) et un petit escalier de service (Il le montre.) pour les domestiques, porteurs d'eau, charbonniers, (Avec intention.) et autres personnes qu'on est bien aise de ne pas laisser voir.» Lockroy et Anicet-Bourgeois, Sous une porte cochère, 3b (Impr. de Lacombe) - P.E.
garçon de service loc. nom. m. ADMIN. MÉTIER "employé subalterne" - TLF, cit. Hugo, 1832.
1790 - «M. Salomon a fait le rapport de la dépense de l'assemblée nationale. Il y a 200 commis, 10 huissiers, 1 inspecteur, 1 sous-inspecteur, 24 garçons de bureaux, 2 garçons de service, 3 personnes au Garde-meuble, 4 commis aux archives et huit copistes.» Journ. de la Révolution, n° 112, 2 déc., 261 - P.E.
permis de service loc. nom. m. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1863 - «[l'inspecteur de la compagnie] monte sur la plate-forme ; avec lui sont un mécanicien d'élite, le contre-maître des ateliers, l'ingénieur de l'état qui délivrera le permis de service. On fait un voyage à blanc, c'est-à-dire sans charge utile remorquée. La vitesse et l'effort de traction sont poussés dans des essais successifs au-delà des limites de régime.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.46, 15 juill., 432 - M.C.
service n.m. COMM. "distribution d'un périodique" - GR[85], 1867, in Littré [sic] ; Lex.[79], 1872 ; FEW (11, 545a), TLF, 1875, Lar. ; GLLF, 1876, Lar.
1796 - «Les pertes faites jusqu'à-présent sur ce Journal par la non-valeur du papier-monnoie, ne nous permettent pas aujourd'hui, sur-tout que le port est payé en argent, d'en continuer le service à ceux de nos abonnés qui n'ont envoyé que 150 liv. assignats, ou 25 livres mandats, pour le trimestre de messidor.» Balestrier, Mes Tablettes, numéro 99, 9 thermidor an 4, 385 - P.E.
service (mettre en -) loc. verb. TECHNOL. - R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1883 - «METTRE EN SERVICE (In Betrieb setzen - To put in service, to bring in use). Disposer un appareil pour en utiliser le fonctionnement.» Jacquez, Dict. d'électricité et de magnétisme, 177 (Klincksieck) - P.E.
service (qu'est-ce qu'il y a pour votre - ?) loc. phrast. POLITESSE - DELF, cit. Diderot, 1796 ; absent TLF.
*1797 - «L'AUBERGISTE. Eh ben, Monsieur, qu'est-ce qu'il y a pour votre service ?» [Dorvigny], L'Auberge des étrangers, 4 (Cailleau) - P.E.
*1799 - «MENU, d'un air sombre. Qu'ès qu'il y a pour votre service ? VANTADOUR. Excuse et pardon si... (Le reconnaissant). Que vois-je ? Est-ce toi, Cadet ?» [Aude et Hapdé], Cadet Roussel misantrope et Manon repentante, 42 (Théâtre du Vaudeville) - P.E.
service (qu'y a-t-il pour votre - ?) loc. phrast. POLITESSE - FEW (11, 544b), GLLF, 1812, Mozin ; TLF, cit. Karr, 1832 ; L, Lex.[79], DELF, GR[85], ø d.
1792 - «SAINT-CASTINS [...] Charles, Charles. CHARLES, en dehors. Monsieur. SAINT-CASTINS. Arrive... [...] CHARLES, sans voir le Caporal. Qu'y a-t-il pour le service de M. le Major ?» [Favières], Les Espiègleries de garnison, 23 (Brunet) - P.E.
1798 - «DUPONT. Qu'y a-t-il pour votre service ?» Léger, Chazet, Buhan, Il faut un état, 22 (Théâtre du Vaudeville) - P.E.
service d'isolement loc. nom. m. PSYCHIATR. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1922 - «Aussi peut-on admettre qu'à côté des services ouverts des asiles, surtout nécessaires pour des malades, momentanément aliénés, dangereux pour l'ordre public, mais rapidement guérissables (comme certains alcooliques aigus par exemple), il y a place pour des services d'isolement dans les hôpitaux généraux où seraient soignés des infectés ou des intoxiqués présentant momentanément des manifestations psychiques et aussi pour de véritables hôpitaux de psychiatrie où seraient admis des malades atteints de troubles psychiques qui apparaissent comme curables et qui ne nécessitent pas de mesures de protection sociale (psychasthéniques, neurasthéniques, etc.).» P. Kahn, in Annales médico-psychol., I, 359-60 - M.C.
service d'été, d'hiver loc. nom. m. CH. DE FER "ensemble des relations ferroviaires assurées pendant ces saisons" - GLLF, 1964, Lar. ; TLF, ø d.
1874 - «Note importante : le Service d'Hiver [des chemins de fer] va commencer sur presque toutes les lignes.» S. Mallarmé, La Dernière mode, 18 oct., 774 - FXT
1900 - «CHANGEMENT DES HORAIRES. Compagnies. Transatlantique. Paris-Lyon-Méditerranée. Nord et Est. Ouest. Etat, Orléans. SERVICE D'ETE. - SERVICE D'HIVER.» Almanach Hachette 1901, 23 - P.E.
service de nuit n.m. ORGAN. - TLF, cit. Zola, 1885 ; GLLF, 20e ; R, Lex.[75], PR[77], ø d.
MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. 1907 - «Service de nuit. - Quand l'appartement du pharmacien est attenant à l'officine, c'est le patron lui-même qui doit répondre, comme le médecin, aux appels de nuit [...]» Bull. des ligues sociales d'acheteurs, 4e trim., 193 - P.E.
service de nuit loc. nom. m. ORGAN. "activité exercée la nuit" - GLLF, 20esecteur médical et paramédical : DDL 21 et GR[85] (pour une pharmacie), 1907
ENSEIGN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. 1899 - «L'externement des répétiteurs de lycée. - La loi de finances de 1898 qui a inscrit au chapitre du budget la première annuité d'un crédit destiné à accorder l'indemnité de nourriture et de logement à tous les répétiteurs qui comptent quatre années de services effectifs [...] En exécution de cette loi, les sommes votées pour l'exercice 1898 ont été intégralement réparties et des dispositions ont été prises en vue d'établir une organisation nouvelle des services de nuit permettant aux répétiteurs qui venaient d'être admis à bénéficier de l'indemnité d'externement de n'être plus astreints d'une manière permanente à la surveillance d'un dortoir.» R. universitaire, I, 413 - P.E.
service de presse loc. nom. m. ÉDIT. - TLF, cit. Du Bos, 1924 ; R, ø d ; GLLF, 1975, Lar. ; Lex.[79], PR[82], ø d.
1879 - «[...] le Père Duchêne a z'évu un beuillet pour le premier bal masqué de la Grande Opéra... Pas besoin de faire des yeux en boules de loto pour ça... Ca n'a rien d'esblindochant... Puisque le Père Duchêne est journaliste... C'est un service de presse, quoi ! Le Père Duchêne reçoit son service de presse pour le bal masqué.» Le Père Duchêne illustré, numéro 9, 13 pluviôse an 87, 2 - P.E.
*1953 - «[...] je n'achète jamais un livre. On m'en prête, je suis sur le service de presse de plusieurs éditeurs ... on ne sait pas pourquoi d'ailleurs ... C'est comme pour le théâtre : vous payez, vous, pour aller voir jouer des balivernes ?» Aragon, Le Neveu de M. Duval, 49 (Ed. fr. réunis) - P.E.
service militaire loc. nom. m. MILIT. - TLF, 1771, Trév. ; GLLF, 1798, Acad. ; L, GR[85], ø d.
1720 - «Les Lettres d'Anoblissement pour le service militaire dans la Marine.» Ordonnance, in Le Nouv. Mercure, sept., 74 - P.E.
*1793 - «Ils seront tenus d'y justifier [...] qu'ils ont servi, soit sur les vaisseaux de la République, soit dans la garde nationale, soit dans toute autre partie de service militaire ou civil.» Gazette nationale, n° 33, 2 févr., 156b - P.E.
service ouvert loc. nom. m. PSYCHIATR. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF ; in Porot (au pl.) [1952].
1918 - «Il nous était difficile de donner la proportion exacte des internés de guerre par rapport aux internés de paix, puisque nous avons la bonne fortune de pouvoir actuellement évacuer dans des services ouverts des petits mentaux, pour lesquels, en temps de paix, il n'existe que des services fermés.» A. Delmas, La paralysie générale et la guerre, Soc. médico-psychol., 25 févr., in Annales médico-psychol., I, 417 - M.C.
1922 - «Aussi peut-on admettre qu'à côté des services ouverts des asiles, surtout nécessaires pour des malades, momentanément aliénés, dangereux pour l'ordre public, mais rapidement guérissables (comme certains alcooliques aigus par exemple), il y a place pour des services d'isolement dans les hôpitaux généraux où seraient soignés des infectés ou des intoxiqués présentant momentanément des manifestations psychiques et aussi pour de véritables hôpitaux de psychiatrie où seraient admis des malades atteints de troubles psychiques qui apparaissent comme curables et qui ne nécessitent pas de mesures de protection sociale (psychasthéniques, neurasthéniques, etc.).» P. Kahn, in Annales médico-psychol., I, 359-60 - M.C.
1928 - «Un service 'ouvert', au sens littéral du mot, est un établissement où non seulement l'on entre sans formalités, mais d'où l'on peut sortir librement. Il est évident que cette formule ne peut être appliquée à la lettre à des individus atteints de troubles mentaux.» G. Demay, in Annales médico-psychol., I, 195 - M.C.
service-canon n.m. TENNIS - E (canon), 1920 ; absent TLF.
1934 - «[...] le grand tchécoslovaque boucle le set sur un service-canon [...]» Tennis et golf, 1er août - IGLF
service-service (être -) loc. verb. non conv. CARACT. "par ext." - GLLF, 1964, Lar. ; R, Lex.[75], PR[77], ø d ; absent TLF.
1901 - «Tenez : je suis service-service, comme disent les tirailleurs (1) ; je ne suis pas tendre ; mais, des fois, ils vous feraient pitié si on pouvait avoir pitié pour des salauds comme ça ! [...] /Note/ (1) Abréviation de la phrase de sabir : 'Serbice serbice, camrade après', qui signifie que le service passe avant tout, même avant l'amitié.» G. Dubois-Desaulle, in R. blanche, n° 188, 1er avr., 503 - P.E.
ski de station loc. nom. m. SKI "sport" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Sans méconnaitre l'importance du ski sportif, indispensable au développement du ski de tourisme, de montagne et même du ski de station, c'est-à-dire du ski pratiqué par les masses, comme une simple mais si belle distraction de vacances hivernales, nous avons décidé cette année de grouper en un seul numéro les comptes rendus des plus importants et des plus intéressants concours, formant ainsi une vue d'ensemble du ski sportif dans cette saison.» Ski-Sports d'hiver, n° 39, avr., 195 - C.T.
skieur de station loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «Si vous êtes seulement skieur de station, ce que vous avez est bien insuffisant. Comment compléter votre matériel judicieusement ?» La Montagne et alpinisme, n° 40, déc., 327 - C.T.
sous-station n.f. ÉLECTR. - TLF, cit. Soulier, 1916 ; FEW (12, 245a), BW5, 1923, Lar. ; ND3, v. 1925.
Compl.PR[73] (1900)
1900 - «Il a donc fallu produire du courant à haute tension et le transformer dans des sous-stations.» L'Année scientifique, 44e année, 293 - A.R.-J.De.
station n.f. RADIOTÉLÉV. TÉLÉCOMM. - TLF, 1880, G. Bell ; FEW (12, 244b), 1933, Lar. ; GLLF, 1949, Lar. ; GR[85], ø d.
*1910 - «Approuvée par le Parlement français, cette convention (dont l'Officiel du 14 mai 1910 a publié le texte et les annexes) définit d'abord les stations radiotélégraphiques : Est appelée station côtière toute station radiotélégraphique établie sur terre ferme ou à bord d'un navire ancré à demeure et utilisée pour l'échange de la correspondance avec les navires en mer. Toute station radiotélégraphique établie sur un navire autre qu'un bateau fixe est appelée station de bord.» Lar. mensuel, n° 42, août, 760a - P.E.
*1913 - «La télégraphie sans fil prend du développement. On compte actuellement 230 stations radiologiques [sic] sur toute la surface du globe. Le Canada en a 32, l'Angleterre 25, la Russie 23, l'Allemagne 20, l'Italie 20, le Brésil 15, l'Inde 11, l'Espagne 9, la France 8.» La R., n° 3, 1er févr., 409 - P.E.
*1914 - «Sans installation spéciale, à toutes distances on peut recevoir chaque jour l'heure de l'Observatoire, le Bulletin météorologique, les cours de Bourse, les nouvelles de Presse de la Tour Eiffel [...] les communications des navires en mer et des stations côtières.» Annonce, in La Science et la vie, n° 16, juill., XII - P.E.
station n.f. RADIOTÉLÉV. TÉLÉCOMM. - FEW (12, 244b), 1933, Lar. ; GLLF, 1949, Lar. ; GR[85], TLF, ø d.
• station de radiodiffusion - GLLF, 1932, Lar. ; GR[85], TLF, ø d.
1925 - «Si l'on fait pour les différentes nations le rapport du nombre des stations de radio-diffusion à celui des habitants, on trouve que la France occupe le quinzième rang après les Etats-Unis, la Suède, le Danemark, l'Afrique du Sud, la Suisse, la Hollande, la Grande-Bretagne [...]» La Radiophonie fr., 101 (Dunod) - P.E.
1927 - «La station de radiodiffusion de Falun en Suède, transmet maintenant des programmes en Espéranto.» La Nature, n° 2753, 15 janv., XXIV - P.E.
station n.f. TOURISME "de sports d'hiver" - In Ga [1969] ; absent TLF.
1903 - «Dès que la saison le permettra, un séjour de deux ou trois jours sera organisé dans une station favorable, le plus près possible de Lyon, pour des essais de skis.» R. alpine, 318 - M.J.
1913 - «Vers le 15 janvier, une dépression annoncée, une chute de neige promise par les grands manitous de la station, déterminèrent les organes du Groupe à convoquer le cours pour les 18-20 janvier à Châtel-Saint-Denis.» L'Echo des Alpes, n° 3, mars, 119 - C.T.
station n.f. d'apr. angl. AGRIC. Australie- ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1864 - «Dans cette contrée singulière, où les saisons, le climat, l'aspect physique du sol et les habitans, tout enfin diffère de ce que nous voyons en Europe, la langue elle-même subit une transformation et s'approprie à des usages nouveaux qui n'ont pas d'équivalens pour nous. On voit ce qu'est l'overlander. Le squatter est l'industriel agricole, propriétaire du faible espace qu'il cultive autour de sa station, usufruitier seulement du run, sur lequel vaguent ses troupeaux. Le bush, c'est le territoire inconnu, recouvert en général de buissons et d'arbustes, qui attend les explorations du bushman.» H. Blerzy, in R. des deux mondes, t.52, 1er juill., 44 - M.C.
1866 - «[...] afin d'affirmer le droit de propriété de l'Etat, et pour créer des ressources au budget local, il fut résolu, en 1831, que le droit de concession serait soumis à une redevance annuelle de 250 fr. par station, l'étendue de chaque station étant calculée à raison de 4 hectares par tête de mouton.» Lar. GDU , (s.v. Australie) - TGLPF
1955 - «Il [Jack Dorman] avait été régisseur de stations dans le Gippsland et la région de Benalla [...] La station a certainement besoin d'autre chose, en dehors de la Land Rover, du nouveau camion et de la maison pour Mario.» P. Singer, trad. : N. Shute, Le Lointain pays , 14 et 17 (Union gén. d'éd., coll. 10/18) - M.C.
station alpestre loc. nom. f. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1876 - «Le Mont-Blanc sera toujours l'objectif du touriste qui visite la Savoie ; en dehors de la vallée de Chamonix, nous n'avons point encore de station alpestre comparable aux cent stations suisses où tant d'étrangers convergent de toutes les régions du globe, et qui sont le point de départ de courses aussi intéressantes que variées.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1875, 32 - C.T.
1909 - «Le 14 mars a eu lieu un concours régional de ski à Pralognan qui a démontré que notre station alpestre ne restait pas en retard et que l'on y trouvera désormais de bons guides skieurs.» La Montagne , n° 4, avril, 244 - C.T.
station alpine n.f. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1910 - «Les stations alpines à la mode sont pleines de gens qui incendient la cuisine pour faire bouillir la marmite.» La Montagne, n° 8, août, 470 - C.T.
station d'altitude loc. nom. f. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1921 - «Alpinisme dans les Pyrénées orientales. - Le développement des stations d'altitude d'Odeillo, de Font-Romeu et de Superbagnère, qui réunissent un si magnifique ensemble de conditions climatiques, ramène l'attention sur les possibilités offertes à l'alpinisme par les massifs de la région orientale des Pyrénées.» La Montagne, n° 148, sept.-oct., 204 - C.T.
1935 - «Skieurs, la Suisse vous offre cette année pour 50 % un hiver 100 % ses centres classiques de sports d'hiver accessibles en peu d'heures de tous les points de l'Europe [...] ses stations d'altitude supérieurement organisées pour l'hiver [...]» La R. du ski, n° 9, nov., n.p - C.T.
1936 - «Auron est en voie de devenir la grande station d'altitude des Alpes-Maritimes, grâce à son nouveau téléphérique de Las Donas (2300) et à ses pistes de descente jalonnées.» A. Hermann et J. Dieterlen, Le Ski pour tous, 236 (Flammarion) - A.D.
station d'hiver loc. nom. f. TOURISME - TLF, 1865, Littré-Robin.
*1908 - «Placée comme elle l'est sur la merveilleuse route du Mont Blanc par les Aravis, entre Chamonix, classée cette année comme station d'hiver, et Aix-les-Bains qui se met sur les rangs pour l'an prochain, Annecy et la vallée de Thônes ne peuvent que gagner à ce nouveau lancement de la Savoie [...]» La Montagne, n° 3, mars, 46 - C.T.
*1908 - «Et à nous, Alpinistes français, il est agréable de constater le succès du concours, l'attrait qu'offrira dorénavant Chamonix, station d'hiver.» R. alpine, 49 - M.J.
*1910 - «Gérardmer a donc conquis définitivement le titre de station d'hiver.» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, 5 - M.J.
station d'été loc. nom. f. TOURISME - TLF, 1865, Littré-Robin.
*1897 - «L'univers se civilise de plus en plus. Des chemins de fer gravissent les montagnes les plus hautes et les pics les plus glacés de la Suisse, et, d'autre part, le Spitzberg devient une station d'été.» R. alpine, n° 11, nov., 347 - C.T.
station de haute altitude loc. nom. f. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Les premiers centres qui s'organisèrent [...] ne dépassent pas 1200 mètres d'altitude [...] La tendance nouvelle est de doubler les installations peu élevées par des stations de haute altitude.» La Montagne, n° 11, sept.-oct., 317 - C.T.
station de montagne loc. nom. f. TOURISME - GR[85], cit. Camus ; TLF, ø d.
1896 - «[...] en 1894, deux initiatives très heureuses se manifestaient dans la création des stations de montagne, l'une privée à Pralognan, où un grand hôtel s'élevait, l'autre, celle de la Section Lyonnaise du C.A.F.» R. alpine, n° 2, févr., 66 - C.T.
station de sports d'hiver loc. nom. f. TOURISME - RSp., 1967, Jeux et Sports ; GLLF, GR[85], TLF, ø d.
1911 - «Les membres du C.A.F. trouveront, comme les années précédentes, au siège du Club, des indications détaillées sur l'état de l'enneigement dans les 35 stations de sports d'hiver comprises dans le service de renseignements du C.A.F.» La Montagne, n° 12, déc., 713 - C.T.
1912 - «Congrés [sic] national du ski. Les questions suivantes sont déjà mises à l'ordre du jour par la Commission des Sports d'hiver : [...] 4e Bulletin d'enneigement ; dossier des stations de sport d'hiver.» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, 99 - M.J.
1913 - «Située à 1.057 mètres d'altitude, Modane est non seulement un centre de tourisme et d'alpinisme dans une région pittoresque où abondent les grands sommets, mais encore une station de sports d'hiver appelée au plus grand avenir.» R. alpine, 38 - M.J.
station hivernale loc. nom. f. TOURISME "en montagne" - GLLF, GR[85], TLF, ø d.
1906 - «Le syndicat des Hôteliers et la Municipalité de notre ville s'occupent très activement en vue de faire de Chamonix une station hivernale à l'instar des plus réputées.» La Montagne, n° 10, oct., 481 - C.T.
1909 - «[...] il [le guide intitulé Les sports d'hiver en Suisse] renferme une quantité de renseignements intéressants et utiles sur les stations hivernales suisses les plus réputées, et sur les sports d'hiver, en faveur maintenant chez nous.» L'Echo des Alpes, 59 - M.J.-C.T.
1911 - «Il [Albert Favre, jeune guide] est à la disposition des touristes de tous les hôtels de cette station hivernale, pour tout ce qui concerne les sports d'hiver, mais principalement comme moniteur de ski.» R. alpine, 102 - M.J.
station météorologique loc. nom. f. MÉTÉOROL. - TLF, cit. Météor. fr., 1963 ; R, GLLF, Lex.[79], PR[82], ø d.
1875 - «Un touriste qui ne fait que passer, et qui doit économiser le bagage qu'il porte sur le dos, ne doit pas songer à s'embarrasser du volumineux attirail qui forme le matériel d'une station météorologique permanente : nous lui conseillerons d'emporter seulement un baromètre holostérique ou anéroïde, deux thermomètres, une boussole et une banderole.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1874, 458 (Paris) - C.T.
1943 - «station météorologique, meteorological station.» Military Dictionary, English-French, French-English, 708 (U.S. Government Printing Office) - P.E.
station service loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Création d'une 'Station Service' de ski en gare de Lyon [...]»R. des sports - IGLF
station service loc. nom. f. SKI - DDL 6, 1936 ; absent TLF.
• ski station service - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «La 'ski station service' Tunmer est à votre disposition pour effectuer toutes les réparations et remises en état de vos équipements.» La Montagne, n° 273, nov., Publ., IIIc - C.T.
station-relais n.f. ALP. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1895 - «Très obligeamment, l'hôtesse de Skei, charmante petite station-relais au bout supérieur du Jölsterwand, se mit à notre disposition [...]» Annuaire du Club alpin fr. Année 1894, 324 (Paris) - C.T.
station-service n.f. d'apr. angl. AUTOM. COMM. - PR[77], 1938 ; GLLF, DA[80], 1949, Lar. ; Lex.[75], v. 1950 ; ND4, mil. 20e ; R (néol.), ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1932 - «[...] service station : station-service (f) ; station (f) de service ; service-station (f) [...]» Sell, English-French comprehensive technical Dictionary of the Automobile and allied Industries, 560 (International Dictionary Company) - P.E.
superstation, super-station n.f. TOURISME - DMC, cit. Le Monde, 1969 ; absent TLF.
1936 - «Enfin, les clients y faisant un séjour prolongé pourront toujours y mettre de la variété en allant visiter le prestigieux, varié et immense Queyras, le Briançonnais, la Vallouise et ses glaciers, l'Embrunais, la région de Barcelonnette ; cette superstation, qui d'ailleurs se suffirait bien elle-même, servira donc de 'base' à la visite de toute la contrée [...]» La R. du ski, n° 8, oct., 220 - C.T.
1936 - «LA 'SUPERSTATION' FRANÇAISE Une levée de boucliers se dresse subitement devant le Haut Commissariat au Tourisme et les grandes stations de sports d'hiver de la Haute-Savoie, après avoir espéré beaucoup pour elles, commencent à craindre la création d'une station d'Etat, d'un 'Sestrières français'. [...] Sans se soucier de savoir si elle deviendra 'superstation', Val-d'Isère poursuit d'un effort continu sa marche en avant.» Ski-Sports d'hiver , n° 36, janv., 125 et n° 37, févr., 169 - C.T.
1946 - «De l'autre côté s'ouvrait le vaste cirque de glaciers qui alimentent l'Isère, pour la plupart skiables jusqu'aux sommets. De quoi faire rêver à quelque superstation, dans le type suisse, avec un grand hôtel.» R. Mathéron, Les Compagnons de la neige, 78 (Susse) - M.J.
1947 - «[Le Baron Bickford] a fait élever en six mois la superstation internationale de Miraneige.» Samivel, Bonshommes de neige, 9 (Didier) - M.J.
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