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pseudo-stéréotypie n.f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1906 - «Il s'agirait donc, d'après la conception de bien des auteurs (et en particulier de Dromard) de pseudo-stéréotypie, puisque la manifestation motrice correspond à un contenu ideo-affectif actuel.» Piéron, c.r., in R. de psychiatrie, 10e année, 131 - M.C.
1912 - «Quant aux pseudo-stéréotypies, Ziehen, Bleuler les désignent du nom de 'pseudo-démences'.» A. Gallais, Délire interprétato-hallucinatoire systématique, chronique, in Annales médico-psychol., I, 430 - M.C.
1952 - «[les stéréotypies] de la démence précoce peuvent subir des variations de la maladie et, dans les formes légères au début, on peut assister à leur régression spontanée ou thérapeutique, ce qui avait fait parler de pseudo-stéréotypie PorotManuel alphabétique de psychiatrie, 391 (s.v. stéréotypies) (P.U.F.) - M.C.
stéréotypie n.f. PSYCHOPATHOL. - TLF, 1900 [d'apr. DDL 29] ; FEW (12, 257a), GLLF, PR[77], 1923, Lar. ; R (néol.), Lex.[75], ø d.
*1909 - «Exagération de l'automatisme chez certains vésaniques. Elle consiste dans la répétition continuelle des mêmes gestes, des mêmes mots.» Garnier et DelamareDict. des termes techniques de méd. (4e éd., Maloine) - J.Gh.
stéréotypie n.f. PSYCHOPATHOL. - GR[85], 1904 ; DDL 20, 1909, Garnier-Del. ; FEW (12, 257a), GLLF, 1923, Lar. ; Lex.[79], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1900 - «Les formes catatoniques sont caractérisées par un état particulier de stupeur ou d'excitation, aboutissant le plus souvent à la démence, et accompagné de négativisme, de stéréotypie et de suggestibilité dans les mouve ments d'expression et dans les actes.» P. Sérieux, Nouvelle classification des maladies mentales du Professeur Kraepelin, in R. de psychiatrie, avr., numéro 4, 115 - M.C.
*1901 - «Ainsi, l'immutabilité de l'arrêt psychique et des autres signes chroniques accessoires, tels que maniérisme, tics, stéréotypie, en face de l'altération progressive des signes aigus, est, pour l'observateur, un précieux élément de détermination.» Dr Nicoulau, c.r., in Annales médico-psychol., II, 325 - M.C.
*1902 - «Pour la précision du langage, il serait nécessaire de réserver la dénomination de stéréotypie aux seuls accidents moteurs dans lesquels les caractères de la contraction musculaire ne diffèrent pas de ceux que celle-ci affecte dans les gestes normaux.» Meige et Flindel, Les Tics et leur traitement, 458, cité in Journ. de psychol., 2e année, 18 (1905) - M.C.
*1905 - «En résumé, on peut dire que le tic s'impose en parasite dans une conscience qui reste intégrale en dehors de lui, tandis que la stéréotypie constitue toute l'activité d'une conscience restreinte et réduite à l'unité de représentation. Le tic est une synthèse secondaire détachée de la synthèse principale ; il témoigne d'une 'désagrégation fragmentaire'. La stéréotypie est une synthèse autonome, au milieu d'autres synthèses autonomes [...]» Dr Dromard, in Journ. de psychol., 24 - M.C.
stéréotypie graphique loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - In titre : Antheaume et Mignot, Remarques sur la stéréotypie graphique, in L'Encéphale, numéro 4, juill., cité in R. de psychiatrie, 10e année, 430 (1906) - M.C.
1906 - In titre : L. Marchand, Stéréotypie graphique chez un dément précoce, in Journ. de neurol., 19e année, numéro 20, 20 oct. (Bruxelles), cité in R. de psychiatrie, 522 - M.C.
stéréotypie psychique loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «[ces attitudes schizophréniques] participent d'ailleurs du processus schizophrénique et se distinguent par leur stérilité, leur immobilité, leur rigidité. Elles constituent ainsi de véritables stéréotypies psychiques, comparables aux stéréotypies de mouvements et d'attitude.» E. MinkowskiLa Schizophrénie, 243 (Payot) - M.C.