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arrière-sourire n.m. AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1922 - «Tandis qu'il se penchait sur la table, les yeux de Camille rencontrèrent la perle en poire de sa cravate, une perle de mille louis. Elle eut un arrière-sourire [...]» M. PrévostLes Don Juanes, 89 (La Renaissance du livre) - R.A.
auto-suffisant adj. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1952 - «L'humanité : [...] - un petit monde fermé et auto-suffisant, jouant le grand-jeu avec ses règles à part et, plus particulièrement, définitivement évadé hors des lois asservissantes de la spéciation.» Teilhard de ChardinLa Vision du passé, 372 - Deckers.
demi-bouche (sourire à -) loc. nom. m. AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. v. pron. : Hu, Amyot
[1827] - «Que signifie ce sourir à demi-bouche [sic] ?» Mém. de Jacques Casanova de Seingalt, t. 3, ch. 2, 54 (Bruxelles, Libr. Rozet, 1826-38) - R.R.
demi-sourire n.m. AFFECT. - GR[85], 20e ; absent TLF.
1938 - «Il me regarde avec un demi-sourire [...]» R. LennadLes Hommes verts, avr., 36 (Schall, 1945) - R.R.
sourire (prendre qqn à -) loc. verb. RELAT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• sous rire (prendre qqn à -)
 
1598 - «Mais repliquant, ie luy dis que la loy ne permettoit pas d'espouser les trois soeurs l'vne apres l'autre, comme auoit fait vn certain Turc en Hierusalem, il me dist que cy, pourueu qu'il espousast l'aisnee la premiere, & qu'au contraire s'il prenoit la derniere qu'il seroit frustré de ce grand bien : me prenant à sous rire de ceste parole, me dist, comment estes vous esmerueillé de cela, ce ne rie dit-il, au regard des Bardaches [...]» J. de VillamontVoy., livre 3, ch. 5, 504-5 - R.R.
suffisant n.m. MESURE  "ce qui suffit" - R (cit.), GLLF, Lex.[75] (cit.), 1946, Gide ; PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1910 - «Avoir son suffisant, le suffisant, pour : avoir suffisance, sa suffisance, en avoir assez. L'expression a été formée assez bien, sur : avoir le nécessaire ; mais l'Académie ne l'a pas enregistrée.» C. VincentLe Péril de la langue fr., 170 (De Gigord) - P.E.