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sauver (se -) v.pron. non conv. PROPRIÉTÉS ET ÉTATS "d'un liquide qui bout" - Lex.[79], GR[85], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1795 - «URSULE, avec une cafetière à la main. Eh ben ! à qui que Jocrisse pense donc, qui ne vient pas chercher son café ? Si je n'en avais pas eu soin, i' se serait tout sauvé devant le feu.» Dorvigny, Jocrisse changé de condition, 31 (Cailleau) - P.E.
sauver les apparences loc. verb. CARACT. VIE SOC. - FEW (11, 128b), GLLF, 1662, La Rochefoucauld ; L, R, cit. Molière ; DG, ø d ; Lex.[75], cit. Sarrazin ; TLF, PR[77], DELF, ø d.
1621 - «Quelques esprits facetieux dirent, que, si les Astrologues, ignorans les vrayes causes des mouuemens celestes, auoyent payé d'Excentriques, et d'Epicycles, seulement pour sauuer et maintenir les apparences, il ne faloit point s'esbahir, si, pour sauuer les apparences des mouuemens surcelestes, on s'esgayoit, et se phantasioit des excentricités d'opinions.» J. Diodati, trad. : P. Soave Polan [P. Sarpi], Hist. du Concile de Trente, 260 (Gamonet) - P.E.
sauver les mille millions du diable (à faire -) loc. verb. non conv. VALEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1885 - «Arrivons à la fête ... était un bachanal [sic] à faire sauver les mille millions du diable.» G. Frison, Les Aventures du colonel Ronchonot, 678 (s.l.n.d.) - G.S.
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