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saule n.m. ACCESS. "sorte de plume" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1845 - «Ces chapeaux sont surtout ravissants [...] en paille de riz ornés de marabouts ou de saules.» Le Moniteur de la mode, 30 mars, 282b - M.C.E.
saule (en -) loc. adv. ACCESS. - ø t. lex.; absent TLF.
1844 - «Les chapeaux [...] se garnissent de plumes d'autruche nouées avec des marabouts tombant en saule.» Le Moniteur de la mode, 20 oct., 153a-b - M.C.E.
saule-pleureur (plume en -) loc. nom. f. ACCESS. - TLF, cit. Balzac, 1846.
1827 - «Beaucoup d'élégantes portent même à ces promenades des toilettes d'assemblée : plumes blanches en saule pleureur, robes de satin, velours, etc., mais je ne pense pas que cela doive être imité [...] Plumes en saule-pleureur. - On nomme ainsi ces grandes belles plumes blanches d'autruche dont on embellit les plus riches toques et chapeaux. Elles sont ordinairement au nombre de trois, et se placent, à droite, l'une sur l'autre : La première placée doit avoir au moins un tiers de longueur de plus que les autres, car elle est destinée à retomber jusque sur l'épaule. On ne mêle aucun ornement étranger à cette opulente parure [...]» Mme Celnart, Man. des dames ou L'Art de la toilette , 160 et 333-4 (Roret) - M.C.E.
saule-pleureurisant adj. plais. CORPS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
av. 1892 - «C'est décidé, je vais me laisser pousser les cheveux très longs et tâcher de maigrir un peu. Un bon génie saule-pleureurisant doit être maigre et avoir l'air fatal ! Il doit se flanquer des cuites, manquer de domicile, prendre des fiacres sans les payer, en un mot oublier les contingences et les réalités bourgeoises.» Sarcey, cité in Mercure de France, t.6, nov., 230 (1892) - M.C.
vert saule loc. adj. COULEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «[...] les nuances claires choisies parmi les plus nouvelles : rose sèche, feu, gruau, vert saule [...] champignon, ocre, clicquot rosé, turquoise, mourante, etc.» La Mode illustrée, 1 - A.Ré.
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