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Santiag n.f. abrév. de Santiago [marque de bottes mexicaines]n. dép. arg. ARG. JEUNES CHAUSS. - GR[92], v. 1975 et cit. Nouv. Obs., 1978 ; absent TLF.
1978 - «[...] bottes mexicaines [...] ; les Santiag (Santiago) sont les plus convoitées.» Dico-Plus, numéro 6, 25 (s.v. mexicaines) - K.G.
*1979 - «Le chevelu, genre freak brothers, avec Santiag haute époque.» Courchay, Les Américains sont de grands enfants, 27 (Flammarion) - K.G.
*1981 - «Et je vois derrière moi un [sic] espèce de grand baraqué, costard blue-jeans, Santiag, collier de barbe [...] Tu devrais porter un smoking blanc ! Ca t'irait bien ! Le blue-jeans et les Santiag, ça fait zonard débile [...]» Thérame, Staboulkash , 127 et 134 (Ed. des Femmes) - K.G.
*1981 - «Toujours aussi à l'aise dans mes Santiag.» Hanska, J'arrête pas de t'aimer, 88 (Balland) - K.G.
*1981 - «[...] il [...] se déhanchait un peu comme font les mômes vers les puces de Saint-Ouen, avec des bananes gominées, santiag's bon marché et 49,9 gonflées [...]» Marcelle, Terrain lourd, 77 (Fayard) - K.G.
*1981 - «Il a l'air paumé ailleurs que dans ses habituelles santiags.» Conil, Flip-frac, 49 (Gallimard) - K.G.
*1982 - «L'ancienne chevalerie portait des 'santiags' (bottes mexicaines).» Le Nouv. observateur, 4 déc., 40 - K.G.
Santiag n.f. abrév. de Santiago [marque de bottes mexicaines]n. dép. arg. ARG. JEUNES CHAUSS. - GR[92], v. 1975 et cit. Nouv. Obs., 1978 ; absent TLF.
• santiagues n.f. pl. - GR[92], cit. Express, 1979 ; absent TLF.
*1981 - «[...] des mecs blêmes, blafards, mal rasés, durs comme le béton [...] Des blousons cloutés, des santiagues, des surins : la France des profondeurs.» Fajardie, Sniper, 73-74 (Fayard) - K.G.
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