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saloon n.m. d'apr. angl.-amér. HÔTELL.  États-Unis- TLF, 1895, P. Bourget ; Rs, 1901 ; PR[73], 1927.
*1897 - «Qu'un cabaretier se fasse capitaine de section ou leader de circonscription, le voilà maître de tenir son saloon ouvert tous les jours, malgré la loi qui ordonne la fermeture des débits pendant la journée du dimanche.» A. Métin, in R. blanche, n° 107, 15 nov., 291 - P.E.
saloon n.m. d'apr. angl. HÔTELL.  Angleterre"bar" - TLF, 1830, R. britannique ; DDL 12, 1897 ; PR[77], 1899 ; Rs, Lex.[75], 1901.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1852 - «/A Londres/ La foule alors se précipite dans les boeuf-maisons, dans les huitre-maisons, dans les cercles, dans les clubs et dans les saloons !» Nerval, Les Nuits d'octobre, in Nerval, Oeuvres, I, 406 (Garnier) - P.E.
*1856 - «[...] le dimanche expire avec la soirée, et [...] dès minuit, les saloons dansants, les cabarets à musique, etc., recommencent leurs bruits ; la ville s'allume, la circulation renaît » F. Wey, Les Anglais chez eux, 254 (M. Lévy) - P.E.
saloon (ice cream -) loc. nom. m. d'apr. angl.-amér. COMM. "glacier" 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1858 - «[...] on voit des dames en grande toilette attablées dans les ice cream saloons, où elles dévorent des glaces [...]» O. Comettant, Trois ans aux Etats-Unis, 273 (2e éd., Pagnerre) - H.C.