| ![]() ![]() ![]() ![]()
arrêt n.m. SKI - RSp., 1969, Gautrat ; absent TLF.
1907 - «[...] puis, en bas, l'arrêt brusque dans un tourbillon de poussière neigeuse.» R. alpine, 74 - M.J.
1912 - «Vous croyez n'être pas vaniteux ? Regardez donc si, quand vous faites vos arrêts, il n'y a pas justement une foule de gens dans le voisinage [...]» R. Auscher, trad. : Fendrich, Les Sports de la neige, 123 (Hachette) - M.J.
1924 - «[...] ils [les skieurs qui ont appris le télémark] exécutent d'instinct leurs arrêts, d'abord d'un côté, puis peu à peu indifféremment à droite ou à gauche avec une égale aisance.» L'Echo des Alpes, 150 - M.J.
arrêt arraché loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «La rapidité de la conversion, ainsi que la poussée vigoureuse du ski conducteur, soutenues par l'action de tout le corps, ont provoqué un arrêt 'arraché' qui soulève un nuage de neige en poussière.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 196 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
arrêt chasse-neige loc. nom. m. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1930 - «Arrêt chasse-neige. - Comme exercice, on peut, à faible vitesse, écarter assez, en déversant convenablement, pour s'arrêter tout à fait.» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 45 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
Cf. chasse-neige arrêt
arrêt Christiania, arrêt-Christiania n.m. SKI - RSp. (arrêt de -), 1905 ; absent TLF.
1908 - «[...] il est douteux qu'un débutant puisse apprendre d'une façon satisfaisante, en un ou deux mois, les arrêts Christiania et Télémark [...]» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 88 (Grenoble) - C.T.
1928 - «Arrêt-Christiania. Le Christiania est un arrêt glissé, ne demandant qu'une faible dépense de force, mais exigeant d'autant plus d'agilité et d'équilibre. Il est élégant, 'coulant', et c'est de tous les arrêts le moins fatigant, par le fait qu'il est basé sur un glissement latéral ou dérapage, et non sur un freinage. [...] La courbe en freinage-Christiania peut être évitée pour passer à l'arrêt-Christiania sur une pente rapide, ou dans un espace restreint, ou encore sur des routes ; car, par ce moyen, on passe directement de la position b au Christiania, grâce à un énergique coup de bâton et à une secousse donnée par les hanches et les épaules.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski , 199 et 223 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «Christiania coulé [...] Nous travaillons d'abord l'arrêt christiania, c'est-à-dire le christiania qui, de la descente dans la pente ou de biais, conduit à l'arrêt.» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 53 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
arrêt Christiania, arrêt-Christiania n.m. SKI - RSp. (arrêt de -), 1905 ; absent TLF.
• arrêt en Christiania
1913 - «Cette première après-midi, sous la chute incessante de la neige, fut consacrée à la tenue et aux préliminaires d'arrêts en Christiania, avec variations diverses.» L'Echo des Alpes, 119 - M.J.
Cf. christiania-arrêt
arrêt combiné loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Le freinage-Christiania est un arrêt combiné. Tout comme le freinage-Télémark, il s'exécute en partant de la position de freinage ou d'un freinage-virage. Ici, également, on recourt à la position de freinage pour préparer l'arrêt et non pas pour freiner.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski , 219 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
arrêt de volée loc. nom. m. RUGBY - Mat. I (arrêt), 1927-42 ; GLLF, ø d ; absent TLF.
1905-06 - «Un arrêt de volée a lieu quand un joueur attrape le ballon de volée [...]» E. Pontié, Le football, in Les Sports mod. illustrés, 158 - Fr. mod., 40, 343.
arrêt glissé loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Arrêt-Christiania. Le Christiania est un arrêt glissé, ne demandant qu'une faible dépense de force, mais exigeant d'autant plus d'agilité et d'équilibre. Il est élégant, 'coulant', et c'est de tous les arrêts le moins fatigant, par le fait qu'il est basé sur un glissement latéral ou dérapage, et non sur un freinage.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski , 199 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
arrêt plant à cul loc. nom. m. plais. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «- Connaissez-vous l'arrêt 'plant à cul' ? Et le spirituel auteur de '4.100' de faire rire tout son auditoire de fonctionnaires frigorifiés.» La R. du ski, n° 3, mars, 91 - C.T.
arrêt sauté loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Descente rapide, arrêt sauté, puis virage sauté pour repartir sur une nouvelle descente directe [...] Il n'y a plus là de véritables festons, mais une ligne droite interrompue par les arrêts sautés (quersprünge) [...]» R. alpine, n° 2, 59 - C.T.
1930 - «Suivant l'état de la neige on emploiera le christiania ou le télémark [...] le stem ou l'arrêt sauté.» A. Couttet, A. Lunn, E. Petersen, L'Enchantement du ski, 117-8 (Ed. Alpina) - C.T.
arrêt stemmbogen loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «L'arrêt stemmbogen est une application simple du stemmbogen amont, qui a pour but de terminer une descente en stemm.» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 47 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
arrêt, buffet (cinq minutes d'-) loc. phrast. non conv. ÉVÉN. "pour inviter, au cours d'un déplacement, à marquer une pause et à se restaurer" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1911 - «Et aïe donc !... Mets-y-en !... Chérez !... Vas-y, cadet !... Pousse ton coletin !... Versailles, cinq minutes d'arrêt, buffet... Le temps de sucer une côtelette [...].» N. Casanova, Le Journ. à Nénesse, 115 (Ollendorff) - P.R.
arrêt, buffet (cinq minutes d'-) loc. phrast. non conv. ÉVÉN. "pour inviter, au cours d'un déplacement, à marquer une pause et à se restaurer" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
• arrêt, buffet ! - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1917 - «Nous prenons la grande route d'Altkirch [...] Arrêt, buffet ! psalmodie Monod qui imite la voix du crieur de la gare de Bourg-en-Bresse. Nous sommes arrivés vers un élégant pavillon de chasse, à côté d'une maison de garde. On ouvre les musettes ; on donne une accolade au bidon [...].» J. Arène, Les Carnets d'un soldat, 102 (Georges Crès et Cie) - P.R.
arrêt-freinage n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «On peut, à n'importe quel moment, transformer un freinage-virage en arrêt-freinage ; pour cela, il suffit de laisser agir les aides de la deuxième phase du freinage, en augmentant la poussée tournante, la charge et le 'vissage' sur le ski extérieur qu'on laissera poursuivre sa route sans le déverser ; le mouvement tournant continuera jusqu'à ce que l'arrêt s'ensuive.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 161 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
arrêt-télémark n.m. SKI - RSp. (arrêt de Télémark), 1904, Man. CAF ; absent TLF.
1908 - «[...] il est douteux qu'un débutant puisse apprendre d'une façon satisfaisante, en un ou deux mois, les arrêts Christiania et Télémark [...]» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 88 (Grenoble) - C.T.
1928 - «Arrêt-Télémark. Pour s'arrêter, le corps s'incline ; 'vissé' en arrière et en dedans [...] il exerce son action sur le ski conducteur.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 195 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
chasse-neige arrêt loc. nom. m. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1933 - «Freinages [...] le chasse neige arrêt.» La R. du ski, n° 2, févr., 43 - C.T.
Cf. arrêt chasse-neige
christiania arrêt loc. nom. m. SKI - GR[85], ø d ; absent TLF.
1938 - «Dans ce sens, lorsque l'élève en sera, après le dérapage, au christiania amont, vous devrez lui faire exécuter à l'arrêt les mouvements d'appel, de rotation et de ruade, chaque mouvement séparé et combiné, puis ensuite exécuter ces mêmes mouvements en marche et dans le même ordre, en amenant l'exécution du mouvement de christiania de plus en plus dans le sens de la pente, jusqu'à ce que l'élève exécute parfaitement un christiania arrêt en sortant d'une trace directe.» La R. du ski, n° 8, nov., 183 - C.T.
1950 - «CHRISTIANIA EN PARTANT DE LA LIGNE DE PLUS GRANDE PENTE (CHRISTIANIA ARRET) Christiania arrêt. Dénomination impropre, car le christiania selon la ligne de plus grande pente permet de virer tout aussi bien que de s'arrêter ; de plus, ce n'est pas le seul christiania qui donne au skieur le moyen de s'arrêter.» A. Jacques, Ski de descente, 105 (Arthaud) - C.T.
Cf. arrêt-christiania
christiania pur arrêt loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «Christiania pur arrêt : Christiania exécuté à la sortie d'une trace directe dans le sens de la pente.» La R. du ski, Noël, 232 - C.T.
saut d'arrêt loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «Le Saut d'arrêt. Il ne diffère du saut tournant décrit auparavant que par l'angle du tournant et par la façon d'atterrir.» K. Wick, Man. du ski de descente, 54 (Fasquelle) - M.J.
virage-arrêt n.m. SKI - RSp. (s.v. vissage), 1939, Gredig ; absent TLF.
1908 - «L'emploi du mot 'Christiania' pour désigner une manière de virage-arrêt semble reposer sur une confusion. Plusieurs notabilités sportives sont d'accord pour nous assurer que ce mouvement était en usage à Télémark, bien avant l'apparition du ski à Christiania. Vraisemblablement c'est de l'Europe centrale que vient cette désignation, car en Norvège on connaît le 'Christiania' sous le nom de 'Télémark'. Mais les deux mouvements étant parfaitement distincts, des appellations distinctes aussi leur conviennent et puisque, chez nous, il est question de 'Christiania', le mieux est de conserver ce nom.» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 101 (Grenoble) - C.T.
1933 - «L'Ecole des virages-arrêts et des christianias a pour but d'apprendre le changement de direction.» La R. du ski, n° 10, déc., 244 - C.T.
1935 - «Virages-arrêts [...] Les virages-arrêts doivent être exécutés dans les deux directions et dans la neige profonde. [...] Christiania arraché [...] De la position normale de descente [...] prendre la position de christiania, les genoux fortement poussés en avant les talons à plat, le corps penché en avant (le poids du corps porté sur l'avant des skis). Au moment où on désire exécuter le virage-arrêt, visser énergiquement le corps vers l'intérieur de la courbe. [...] Télémark arraché [...] Si, au moment de tourner le ski en position de télémark, on transporte le poids du corps du ski intérieur sur le ski extérieur par un mouvement de vissage appuyé sur un contre-vissage, on obtient un virage-arrêt beaucoup plus bref et rapide, on arrache le mouvement.» P. Schnaidt, La Technique du ski, 40, 43 et 48 (Genève, Sonor) - C.T.
1936 - «Enfin, votre professeur de ski vous apprendra à exécuter les virages-arrêts : soit le Christiania, le Stemm-Christiania, le Christiania en ciseaux et le fameux Telemark.» P. Amiguet, Technique et poésie de la montagne, 222 (Grasset) - M.J.
virage-arrêt arraché loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «La fixation avancée convient particulièrement pour les virages-arrêts arrachés et pour les grandes vitesses ; par contre, la fixation reculée facilite les virages coulés et aide les débutants.» P. Schnaidt, La Technique du ski, 10 (Genève, Sonor) - C.T.
virage-arrêt Christiania loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Nous traiterons en premier lieu du virage-arrêt Télémark, non pas qu'il soit plus facile ni plus utile à connaître que le virage-arrêt Christiania (selon nous ils se valent), mais parce qu'il est plus généralement pratiqué.» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 97 (Grenoble) - C.T.
virage-arrêt Télémark loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Virage-arrêt Télémark. - Nous arrivons avec le 'Télémark' à un virage-arrêt plus rapide et plus brillant, plus difficile aussi. [...] Nous traiterons en premier lieu du virage-arrêt Télémark, non pas qu'il soit plus facile ni plus utile à connaître que le virage-arrêt Christiania (selon nous ils se valent), mais parce qu'il est plus généralement pratiqué.» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 96 (Grenoble) - C.T.
|