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épauler v.tr. ACTION RELAT. "aider" - FEW (12, 150a), GLLF, Lex.[75], PR[77], 1636, Monet ; L, R, Mol. ; DG, ø d ; TLF, cit. Ambrière, 1946.
• espauler - absent TLF.
1599 - «Les procedures des Allemans nous apprendront bientost ce que nous devons attendre, car, s'ils ne s'y meslent point, la venue de l'hyver nous separera ; sinon, la guerre se peut transporter avec avantage dans le haut pays de Gueldres, où nous serions espaulés de leur secours et où l'incommodité de la saison seroit plus supportable.» Ph. de Mornay, let., in Mme de Mornay, Mém., II, 230 (Renouard) - P.E.
épauler v.tr. CHORÉGR. - v.tr. : TLF, cit. Meunier, 1931 ; GLLF, 20e ; GR[85], ø d.
1820 - «Remarquez que jusques dans la moindre des poses, il faut épauler le corps et surtout la tête.» C. Blasis, Traité élémentaire, théorique et pratique de l'art de la danse, 64 (Milan) - E.R.
épauler v.intr. CHORÉGR. - v.tr. : TLF, cit. Meunier, 1931 ; GLLF, 20e ; GR[85], ø d.
1895 - «Terme usité en danse pour demander à l'élève un mouvement de l'épaule prononcé dans telle ou telle direction devant ou derrière ; on épaule en arrière, à droite, en renvoyant fortement l'épaule dans cette direction sans déplacer l'épaule gauche.» G. Desrat, Dict. de la danse (Genève, Slatkine, 1980) - E.R.
1931 - «Effacer une épaule en arrière, en avançant l'autre vers le public. Epauler à droite, effacer l'épaule droite, épauler à gauche, effacer l'épaule gauche.» A. Meunier, La Danse classique. Ecole française, 134 (F. Didot) - E.R.
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