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anti-romanisme n.m. RELIG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1865 - «Au point de vue de l'anti-romanisme, M. de Bunsen avait fait coup double. Il avait à la fois démonétisé un saint et noté d'hérésie deux papes. Le saint Hippolyte du calendrier romain n'était plus qu'un rebelle, un ennemi déclaré de deux évêques romains, ses contemporains, et deux papes auraient professé de damnables erreurs sur la Trinité.» A. Réville, in R. des deux mondes, t.57, 15 juin, 903 - M.C.
romanisme n.m. RELIG. - ND2, 18e ; FEW (10, 457b), 1870 ; L, ø d ; TLF, cit. Barrès, 1911.
*1857 - «Anglicane de religion, elle partage, à l'endroit du romanisme, le mépris des protestants les plus entêtés. [...] Le protestantisme est une religion plus calme, moins extérieure que le romanisme [...]» E. Montégut, citant Ch. Brontë, Miss Brontë, sa vie, ses oeuvres, in R. des deux mondes, 1er juill., 145 et 15 juill., 445 - A.R.-J.De.
romanisme n.m. RELAT. INTERN. "esprit, caractère latin" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1911 - «Et dans Tolède, si je n'ai jamais le coeur froid, ni les yeux ennuyés, c'est que j'y vois à chaque pas la plus belle lutte du romanisme et du sémitisme, un élément arabe ou juif qui persiste sous l'épais vernis catholique.» M. BarrèsGreco ou le secret de Tolède, 84 - FXT
1917 - «Une fois de plus, le Romanisme et le Germanisme sont aux prises sur ses bords [du Rhin] ; mais la lutte, depuis la dernière rencontre, s'est élargie de tout l'immense poids de la question d'Orient.» J. GasquetLes Bienfaits de la guerre, 243 (Payot) - J.S.