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quasi-romance n.f. MUS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1883 - «En notre jeunesse, on chantait une quasiromance, dont le refrain posait la question : Sapristi ! qu'est-ce qui paiera / la goutte à la pa ... à la papa ... à la patrouille !» Le Triboulet, 5 août, 6b - G.S.
romance n.f. LITT.  "chanson sentimentale" - FEW(10, 454a), v. 1770 ; L, D'Alemb. ; PR[72], BW5, ND2, 18e ; DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1719 - «Chez les anciens, les Amants ecrivoient les loüanges de leurs Maitresses sur les portes de celles-ci ; ils les couronnoient de fleurs ; ils les arrosoient de vin ; et ils y chantoient des romancesLe Curculion, in N. Gueudeville, trad.Les Comédies de Plaute, vol. 3, 31-32 (Leyde, Vander Aa) - J.S.
romance (langue -) loc. nom. f. LING. - FEW (10, 453a), R, GLLF, PR[77], 1690, Fur. ; L, DG, cit. Volt. laingue romance : G, cit. Psautier
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1671 - «[...] témoin le Serment de Loüis Roy de Germanie, fait en langue Romance, et presque aussi mal-aisé à entendre que le Serment de Charles son frere Roy de France, fait en langue Thudesque.» [Bouhours]Les Entretiens d'Ariste et d'Eugène, 156 (Mabre-Cramoisy) - P.E.