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rocker n.m. d'apr. angl. ORNITH. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1851 - «Aujourd'hui, le capitaine Leask et un autre homme ont tué dix ptarmigans ou plutôt rockers (rock partridges, perdrix de rocher).» J.-R. Bellot, Journ. d'un voy. aux mers polaires, 10 nov., IV, 183 (1854) - R.R.
1907 - J. Verne, Le Volcan d'or, 282 - Bachmann, 46.
rocker v.intr. DANSE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «[...] je farte, je chausse, je fonce, je slalome ... je skie ! je saute, je curle, je rocke, je scotch ... je skie !» L'Express, 21 oct., 13, Publ - AFC
1974 - «Ils allaient jerker... rocker ... frénétiques sur la piste.» A. Boudard, Cinoche, 59 (La Table Ronde) - K.G.
rocker n.m. d'apr. angl. MINES TECHNOL. - DA[82], 1869 ; absent TLF.
1863 - «Après la battée vint le rocker (2), avec lequel le mineur pouvait laver 1,500 kilogrammes de sable par homme et par jour [...] [Note] (2) Le rocker est un petit coffre sans couvercle, plus long que large, ouvert sur l'un de ses petits côtés, et à fond garni d'une toile grossière. Ce coffre est incliné vers le côté ouvert ; il peut osciller comme un berceau d'enfant. Sur ce coffre ainsi ouvert, on met une grille, et sur la grille on charge les terres aurifères qu'on arrose d'eau en berçant l'appareil. Les gros graviers restent sur la grille, les boues et les sables passent au travers, tombent sur le fond et s'écoulent au dehors, tandis que l'or reste retenu par la toile du fond.» P. Laur, in R. des deux mondes, t.43, 15 janv., 460-1 - M.C.
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