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course de rocher, course de rochers loc. nom. f. ALP. - [RSp. : s.v. course, in cit., 1970, Gautrat] ; absent TLF.
1895 - «Cette montagne [la Bessanèse], par ses formes hardies et bien découpées, a été dénommée le 'Cervin du Val d'Ala'. C'est une belle course de rochers, très en faveur parmi les alpinistes italiens.» R. alpine, numéro 5, avr., 133 - C.T.
1901 - «Il faut avoir escaladé une pente de glace comme celle que nous venions de gravir pour apprécier à sa juste valeur les difficultés d'une course de rochers [...]» R. alpine, numéro 4, avr., 104 - C.T.
1927 - «Nous venions d'ouvrir une des plus intéressantes courses de rocher qu'il soit possible de trouver dans tout le massif des Ecrins, une course absolument belle. Henri GAZIN disait la préférer à l'escalade de l'Olan qu'il avait faite la veille.» La Montagne, numéro 203, juin, 187 - C.T.
parole-rocher n.f. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Chez Hugo, nous n'assistons pas au surgissement de la parole naissant des mots sacrifiés, mais au déferlement de la parole prise dans la parole apportée par elle, suivie par elle. Les autres tentent d'échapper à l'eau du langage pour déposer hors de son atteinte une parole tabulaire, une parole-socle, une parole-rocher ; leur poésie, c'est la naissance des Sporades.» G. Picon, Introd. à l'oeuvre poétique de Victor Hugo, in G. PiconOeuvres poétiques, t.1, XV (NRF, Pléiade) - L.C.
piton de rocher loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in déf., 1943, Pourchier-Frendo] ; absent TLF.
1934 - «Les pitons de rocher se font en fer forgé [...] Des divers modèles que l'on trouve dans le commerce, bon nombre sont à proscrire [...]» Man. d'alpinisme, 41 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
piton à rocher loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in déf., 1943, Pourchier-Frendo] ; TLF (de), ø d.
1933 - «En ce moment, nous assistons à l'introduction en France des méthodes dolomitiques avec leur arsenal d'étriers, de pitons à rocher et à glace, de mousquetons, de marteaux.» La Montagne, numéro 251, juill., 260 - C.T.
rocher n.m. ALP.  "par métonymie" - [RSp. : s.v. encordement, in cit., 1970, Gautrat].
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1883 - «Dans l'état actuel, l'escalade du pic demande une tête un peu sûre et quelque habitude du rocher [...]» Annuaire du Club alpin fr. Année 1882, 127 (Paris) - C.T.
*1892 - «[...] j'aurais eu plus de vocation pour le métier de Sisyphe que pour celui de Tantale. Celui-là au moins était un grimpeur, un vrai, et... il maniait le rocher Let., 19 nov., in R. alpine, numéro 4, avr. 1897, 110 - C.T.
*1895 - «Un de mes amis m'avait même dit : 'on peut travailler le rocher dans toute la face Est qui va de la Balmette au refuge.'» R. alpine, numéro 2, janv., 37 - C.T.
*1896 - «Il [Th. Camus] avait acquis dans les montagnes dolomitiques de la Grande Chartreuse un goût très vif pour le rocher, de préférence au glacier ; nous sommes 'gent rochassière' avait-il coutume de dire.» R. alpine, numéro 10, oct., 277-8 - C.T.
*1933 - «[...] la falaise des Gaillands [...] devient de plus en plus l'un des plus beaux coins de France où il soit possible de s'entraîner et de s'habituer rationnellement au rocher La Montagne, numéro 253, nov., 348 - C.T.
rocher (faire du -) loc. verb. ALP. - GLLF, 1964 ; Lex.[79], GR[85], ø d.
1897 - «Si vous voulez faire du rocher ayez l'expérience, la sûreté, l'agilité, la souplesse d'un guide des Dolomites ; si vous faites du glacier et du rocher, ayez les qualités précieuses des meilleurs guides de la Suisse.» R. alpine, numéro 7, juill., 225 - C.T.
rocher-champignon n.m. GÉOGR. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «Mais ce qui domine, ce sont les blocs à peine arrondis, mal équarris, et encore les curieux rochers-champignons qui dépassent parfois la hauteur d'un homme.» La Montagne et alpinisme, numéro 54, oct., 124 - C.T.
rocher-club n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «Véritable Rocher-Club de Provence, ainsi que volontiers ils [les alpinistes] s'appellent, ils ont, depuis l'année 1900, détaillé nos rochers, inauguré et répété de remarquables escalades.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1902, 19 (Paris) - C.T.
rocher-école n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1912 - «Je ne me doutais pas que je finirais par la connaître cette montagne dont le nom venait de m'être expliqué, je ne me doutais pas que mon fils aîné, formé par le Salève, ce rocher-école, m'y tirerait un jour, alors qu'il avait encore besoin de ma force et de mon expérience.» Echo des Alpes, numéro 1, 6 - C.T.
1971 - «Je ne pense pas avoir atteint auparavant, sauf peut-être au rocher école, une cohésion entre les mouvements et le rocher aussi complète [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 81, févr., 6 - C.T.
rocher-école d'escalade n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «Si la pratique des rochers-écoles d'escalade, constitue un maintien en bonne forme, excellent pendant les mois qui nous retiennent loin des Alpes, il semble que l'on puisse lui reprocher de n'être vraiment profitable qu'à des montagnards très exercés.» La Montagne, numéro 204, juill.-sept., 239 - C.T.
école de rocher loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «Et félicitons également Alfred COUTTET pour le flair remarquable avec lequel il a su discerner, au milieu de tant de parois rocheuses, celle qui réunissait précisément toute la gamme des passages classiques de l'escalade, ainsi que toute école de rocher se doit d'en posséder.» La Montagne, numéro 253, nov., 351 - C.T.