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robette n.f. VÊT. - TLF (robbette), v. 1465, Chastellain ; FEW (16, 675a), Chastellain ; G, Farce de Calbain ; Hu, 16e.
Au 20e- TLF, cit. Catalogue Redoute, 1951-52 Add.DDL
*1948 - «Ça valait le dérangement : trompettes, orgue, les vierges indigènes en robette blanche, et tous les directeurs en grande tenue, décorations dehors [...]» J. Hougron, La Terre du Barbare, 374 - St. Rom. Upsaliensia, 8, 56-57.
*1967 - «Par moments un léger coup de vent rejette sa robette mignonnette [...]» Rezvani, Les Années-lumière, 227 - St. Rom. Upsaliensia, 8, 57.
*1970 - «La ressemblance avec des fuchsias était frappante chez ceux qui portaient une robette rouge sur des pantalons violets. Rien ne distinguait les garçons des fillettes [...]» C. Heim, Horizon guérilla, in Mercure de France, 19 - St. Rom. Upsaliensia, 8, 57.
robette n.f. VÊT. - GLLF, v. 1460, G. Chastellain ; TLF (robbette), v. 1465, Chastellain ; FEW (16, 675a), de Chastellain à Brantôme ; G, Farce de Calbain ; Hu, 16e.
Au 20e- DDL 9, 1948, J. Hougron. 1925 - «[...] en ville ou chez soi la robette qu'elle soit en reps ou en soie exige des chaussures plus fines et toujours assorties au ton de la robe.» Psyché, mai, 60 (Bruxelles) - M.C.E.
1925 - «Vous pourrez vous permettre cet effet aussi bien sur une robette de jour que sur une toilette pour le soir. [...] Sous cet autre vêtement de blanche panne zibelinée [...], apparaît une robette de crêpe Georgette garnie de panneaux plissés liserés d'un fil de métal.» Eve , 5 juill., 8 et 25 oct., 8 - M.C.E.
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