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retaper v.tr. non conv.  SANTÉ  "revigorer" - TLF, 1833, Vidal ; PR[72], déb. 20e.
*1866 - «L'air de la mer m'a retapé.» Flaubert, Corresp., V, 237 (Conard) - CRTLF
*1886 - «Voilà bientôt l'été, ça le retapera.» Maupassant, Contes et nouv., II, 616 (A. Michel) - CRTLF
*1933 - «La saison de 'Tonin', retapé par les brises salubres [...] a été excellente.» Paris-Sport, 21 juin - IGLF
retaper v.intr. RELAT. "maltraiter, critiquer, semoncer" - FEW (13/I, 103a), 1798, Acad. ; absent TLF.
1743-44 - «Le cuisinier fut Retapé etc. : bien chapitré.» P. Potier, in P.W. Halford (éd.), Le français des Canadiens à la veille de la Conquête, 40 (Les Presses de l'Université d'Ottawa, 1994) - P.H.
retaper v.tr. RELAT. "tromper, berner" - FEW (13/I, 103b), ø d ; absent TLF.
1748 - «[...] j'ai eté retapé : trompé dans un marcher.» P. Potier, in P.W. Halford (éd.), Le français des Canadiens à la veille de la Conquête, 116 (Les Presses de l'Université d'Ottawa, 1994) - P.H.