| ![]() ![]() ![]() ![]()
col Restauration loc. nom. m. VÊT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «On en fait des rabats, des étoles, et des cols de tout genre [...] cols Louis XI, Louis XIII, Mazarin ; col 'de Guiche', col Infante, col Marion Delorme, Ninon de Lenclos, col Christine, col Restauration, col Marie-Amélie.» La Mode illustrée, 358 - A.Ré.
corsage-Restauration n.m. VÊT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1893 - «Corsage-Restauration [...]» La Mode illustrée, 193 - A.Ré.
dé-restauration n.f. ARTS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «On peut se demander si les solutions conservatrices sont encore acceptables, et à quel prix, mais il n'est pas possible d'imaginer que la dé-restauration intégrale corresponde à un état plus satisfaisant de l'objet archéologique.» A. Chastel, La dé-restauration des statues et ses problèmes, in Le Monde, 8 août, 11 - J.Hé.
Restauration n.f. HIST. FR. - GLLF, DHR, 1835, Balzac ; FEW (10, 322b), TLF, ø d.
"Avec minuscule :" 1827 - «Du ministère de la restauration. Depuis l'établissement de la charte, le ministère compose un tout indivisible, où domine l'action d'un chef de cabinet [...]» Eckstein, Le Catholique, n° 24, déc., 453 - P.E.
1828 - «A la chute de Napoléon, quand la restauration triompha [...]» Eckstein, Le Catholique, n° 26, févr., 270 - P.E.
1831 - «Sous la restauration, le public français commençait à se faire leur disciple docile [...]» Michelet, Introd. à l'hist. univ., 83 (Hachette) - P.E.
restauration n.f. rég. Belgique HÔTELL. "restaurant" - GLLF (en Suisse et en Allemagne [?]), 1888, Lar. ; FEW (10, 322b ; en Suisse allemande), TLF, DHR, 1890, Lar. Suppl.
1836 - «[...] nous allâmes donc à la restauration de l'Union, car, en français-belge, un restaurant se nomme une restauration.» Th. Gautier, Caprices et zigzags, 66 (Lecou, 1852) - P.E.
|