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relâche n.f. THÉÂTRE "fermeture momentanée" - L, FEW (5, 230b), GLLF, Lex.[75], ND4, PR[77], 1798, Acad. ; R, cit. Balzac ; DG, ø d.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1791-98 - «On afficha relâche au théâtre jusqu'au second jour du nouvel an à cause de deux principaux acteurs malades.» Casanova, Hist. de ma vie, t. 11, ch. 5, 145 (1960-62) - R.R.
relâche n.m. THÉÂTRE "fermeture momentanée" - DDL 22, 1791-98, Casanova [repris in TLF] ; FEW (5, 230b), GLLF, DHR, DDM, 1798, Acad.
1751 - «SPECTACLES. L'Académie Royale de Musique donnera aujourd'hui Jeudi 13 Mai, demain Vendredi 14 le Ballet des Sens. Dimanche 16 relâche au Théâtre. [...] Les COMEDIENS FRANÇOIS [...] Dimanche 16, relâche au Théâtre. Les COMEDIENS ITALIENS [...] Dimanche 16, relâche au Théâtre.» Annonces, affiches et avis divers , n° 1, 6 et 7 - P.E.
1778 - «14 Février 1778. L'enterrement de le Kain, qui devoit avoir lieu le lundi, a été remis à mardi. Les deux Comédies y ont assisté & en conséquence ont donné relâche au théâtre.» Mém. secrets, XI, 118 (Adamson) - P.E.
relâche (faire -) loc. verb. THÉÂTRE "suspendre momentanément les représentations [d'un théâtre]" - GLLF, TLF, DHR, ø d.
• jouer relâche plais. - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1897 - «Petite actrice dans un théâtre où l'on joue Relâche, cette enfant tenait pour le moment, chez ledit Duraluyr, l'emploi de grande amoureuse, rôle mal joué par elle, étant donné le partenaire.» A. Allais, Le Bec en l'air, 750 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
relâche : il y a relâche loc. verb. THÉÂTRE "la représentation est momentanément suspendue" - TLF, cit. Musset, 1832. relâche, n.f. : DDL 42, 1751, Annonces ; TLF, DHR, 1791, Casanova [d'apr. DDL 22] ; FEW (5, 230b), GLLF, 1798, Acad.
1759 - «Cela est changé dans la quinzaine de Pâques qu'il y a relâche pour trois semaines ; on a travaillé à la Comédie et l'on a supprimé toutes ces places sur le théâtre.» E.J.F. Barbier, Journ. d'un bourgeois de Paris sous le règne de Louis XV, avr., 282 (Coll. 10/18, 1963) - R.R.
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