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rapin n.m. non conv. CRIMES "voleur" - FEW (10, 68a), 1856, Du Bois "petit maraudeur" : E, GLLF, 1821
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1619 - «[...] i'entendis derriere moy d'autres gueux qui se disoient, Ce rapin d'Espagnol [le narrateur, jeune mendiant] qui demande maintenant dans Rome, y est tout nouueau [...] il nous gaste le mestier, monstrant que les pauures en ont de trop [...]» [J. Chapelain], trad. : [M. Aleman], Le Gueux, I, 286 (De la Mare) - P.E.
rapin n.m. PEINT. "peintre" - FEW (23, 140b), GLLF, BW6, ND4, 1832 ; E, TLF, 1834, Figaro ; R, PR[77], cit. Baudelaire ; L, DG, Lex.[75], ø d.
• Rapin n.pr.
1824 - «CANIVET. [...] un fameux lapin, tout de même, pour le vernis et le mastic : c'était M. Rapin, mon bourgeois.» Anne et ..., La Rue du Carrousel, ou le Musée en boutique, 6 (Quoy) - P.E.
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