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bande de rail loc. nom. f. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1830 - Brard, Essai sur les chemins de fer, 7 - Wexler, 60.
ped-rail n.m. d'apr. angl. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «Il s'empresse d'ajouter qu'il s'était d'ailleurs inspiré des inventions d'un certain M. Diplock, dont l'idée de 'ped-rail', c'est-à-dire d'une roue qui permettrait aux locomotives d'escalader les collines [...]» F. Roz, in R. des deux mondes, 15 sept., 446 - E.B.
rail n.m. d'apr. angl. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1906 - «On patine admirablement [...] sur cette neige excellente où les skis [...] forment bientôt deux rails étroits et réguliers, à perte de vue derrière nous.» L'Echo des Alpes, 265 - M.J.
1913 - «[...] une ancienne trace de ski, descendant la vallée, avait recueilli l'élément poudreux dissipé ailleurs par le vent et offrait à nos skis deux rails huilés et doux où la vitesse devint bientôt vertigineuse [...]» L'Echo des Alpes, 155 - M.J.
rail n.m. CH. DE FER "/par méton./, transport par voie ferrée" - DAH, GR[85], 1933, Le Génie civil ; FEW (18, 102a), GLLF, DA[82], 1935, Acad. ; TLF, ø d.
• homme / travailleur du rail loc. nom. m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1909 - «Les gens des cabrouets ne savaient où poser leur colis. Des casquettes supérieures se rassemblaient le plus loin possible de leur exaspération. Devant l'encombrement progressif, une détresse opprimait ces hommes du rail.» P. Hamp, Marée fraîche, vin de Champagne, 39 - FXT
1920 - «[...] la proportion des travailleurs du rail ayant cessé le travail n'a pas atteint 60 % [...].» Floréal, n° 28, 14 août, 653a - P.E.
électrolysé du rail loc. nom. m. plais. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Et celle [la poésie] du passé qui semble la plus simple, celle que sentent les touristes quand ils vont avec des livres synthétiques, reliés en rouge à Berlin, pour visiter en deux séances la douceur des choses fanées et les maisons de nos aïeules, cette poésie que méprisent les Electrolysés du rail et les Turbinophiles, les Cosmopolitinyctalopes nerveux des Bars américains pleins de Tchéco-slovaques, et les esthéticiens qui disent 'Regardez comme cela chante' et qui ont l'air d'aimer et qui ne savent pas ce que c'est que l'amour, cette poésie est pareille à la Sagesse souriante, la Sagesse qui ne meurt pas.» H. Bosco, Pierre Lampédouze, 170 (Crès) - J.C.
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