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pulmoneux adj. plais. ANAT. - TLF, cit. Queneau, 1944 (même texte).
1944 - «[...] on ne peut pas dire qu'il halète non on ne peut pas dire ça mais il est affligé en ce moment, ce moment après la prise de conscience de la difficulté de respirer, Louis-Philippe des Cigales est affligé d'une constriction des poumons, des muscles pulmonaires, des nerfs pulmoneux, des canaux pulmoniques, des vaisseaux pulmoniens, c'est une espèce d'étouffement, mais ce n'est pas un étouffement qui prend par la gorge, par le tuyau d'en haut, c'est un étouffement qui part d'en bas, qui part des deux côtés à la fois aussi [...]» Queneau, Loin de Rueil, 22 (Gallimard, 1946) - TGLF
pulmoneux adj. non conv. MÉD. "atteint de troubles pulmonaires" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «Ben... pour un pulmonaire, moi je le trouve pas tellement pulmoneux ! - Oh... si si !... attendez un moment vous allez voir !» V. Thérame, Hosto-blues, 288 (Ed. des Femmes) - K.G.
pulmoneux n. non conv. , plais. MÉD. "malade atteint de troubles pulmonaires" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1976 - «[...] un pulmoneux sur le bord de cracher sa spongieuse [...]» V. Thérame, La Dame au bidule, 23 (Ed. des Femmes) - K.G.