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province adj. péjor. , non conv. VALEUR - FEW (9, 486a), GLLF, GR[85], 1884, A. Daudet ; Lex.[79], ø d ; absent TLF.
1883 - «- Le Bon Marché est bien province, murmura madame Marty, et l'on est si bousculé au Louvre !» Zola, Au Bonheur des Dames, ch. 11, 391 (Charpentier, 1883)déjà paru in Gil Blas - R.R.
province n.f. ADMIN. HIST. FR. "/par oppos. à Paris/" - TLF, DHR, 1653, Racan ; GLLF, 1659, Mol. ; FEW (9, 486a), 1668, La Fontaine.
Au pl. 1635 - «[...] que son langage soit exempt des mauvaises prononciations, et des accens corrompus, qu'on aquiert dans les Provinces, et qu'il se conserve tousjours la pureté du François [...].» G. de Scudéry, La Comédie des comédiens, in L. Maranini, La Commedia in commedia, 588 (Rome, Bulzoni, 1974) - P.E.
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