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programmation n.f. CIN. - TLF, 1921, Cinémagazine [d'apr. DDL 18] ; ND2, déb. 20e ; PR[72], 1959.
*1924 - «/La programmation/ est l'annonce [...] de la présentation officielle du film.»Faure, L'Entretien et l'exploitation du cinéma, 37 - Giraud.
*1928 - «Un spécialiste chargé de la programmation.»Cauvin, Vouloir, 51 - Giraud.
*1936 - «Limitation de la 'programmation'.»M. de Carmoy, L'Industrie cinématographique. Rapport au Conseil national économique, 1 - IGLF
*1955 - «Tout naturellement on est passé de 'programmer'- inscrire un film à un programme - à 'programmation', opération de programmer et résultat de cette opération.»Vie et Langage, juin - Gilbert.
programmation n.f. CIN. - ND4 (ø sens), déb. 20e ; DDL 6, GLLF, 1924 ; PR[77], 1930 ; R (néol.), ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1921 - «Programmation ! Que dites-vous de ce gentil petit mot que certaine maison d'édition voudrait nous faire prendre pour du français. Nous avions, il est vrai, le verbe programmer qui, déjà, faisait partie du jargon cinégraphique, mais programmation est un peu trop dur et les écranistes n'en voudront pas.» Cinémagazine, 25 nov., 27a - M.H.
programmation n.f. CIN.  "d'un film dans les salles de cinéma" - DDL 18 (sens ?), TLF, 1921, Cinémagazine ; GLLF, 1930, Duhamel ; DMC, cit. Vie et Langage, 1955.
1921 - «Cinéa déplore 'écraniste' : 'Les Américains disent directeur, les Allemands régisseur, les Français metteur en scène'. M. Louis Delluc n'a-t-il pas employé 'filmeur', qui me paraît fort acceptable ? Mais d'autres expressions sont employées qu'il faut bannir. La mise au programme d'un film, sa mise à la disposition des directeurs, je l'ai vu appeler 'programmation' ! On a qualifié les critiques de 'visionneurs' parce qu'il y a des visions de films et même, je vous l'assure des supervisions !» L. Wahl, in La Connaissance, numéro 6, juill.-août, 598 - P.E.