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mouvant (principe -) loc. nom. m. PHILOS. - TLF, 1666, A. de Graindorge ; PR[67], 17e.
1666 - A. de Graindorge,  Let. à Huet - Fr. mod., 14, 290.
*1702 - «L'ame des animaux est le principe mouvant qui fait agir leurs organes.» Furetière,  Dict. , (s.v. mouvant)figure dans : Richelet, 1710
principe de jouissance loc. nom. m. PSYCHANAL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «Songeons un instant à un cas comme le nôtre, et nous serons portés à en déduire que l'identification suppose deux ordres de phénomènes : un phénomène hédonique (principe de jouissance) et un phénomène moral (principe de réalité).» Ch. Odier, Contribution à l'étude du surmoi et du phénomène moral, Rapport, Genève, 1er août, in R. fr. de psychanal. , 1ère année, numéro 1, 57, cf. 26 (1927) - M.C.
principe de plaisir loc. nom. m. PSYCHANAL. - TLF, cit. Foulq.-St-Jean, 1962 ; GLLF, 1968, Lar. ; Lex.[79], GR[85], ø d ; in Sillamy [1965].
1923 - «Le Refoulé (Vdgt = verdrängt) séparé du Moi seulement par la barrière du Refoulement, peut communiquer avec lui par l'intermédiaire du Soi, dont il fait partie intégrante. Ainsi compris, le Moi est la portion du Soi modifiée par l'action immédiate du monde extérieur ; il est comme un prolongement de la différenciation superficielle de l'individu ; il s'efforce de faire porter sur le Soi l'influence de l'extérieur, en substituant le 'principe de réalité' au 'principe de plaisir', lequel domine entièrement le Soi.» A. Hesnard, Les récents enseignements psychologiques de Freud, in L'Encéphale, sept.-oct., 527 ; cf. 528, 530 sqq. - M.C.
principe de réalité loc. nom. m. PSYCHANAL. - TLF, cit. Foulq.-St-Jean, 1962 ; GLLF, 1962, Rob. ; GR[85], ø d.
1923 - «Le Refoulé (Vdgt = verdrängt) séparé du Moi seulement par la barrière du Refoulement, peut communiquer avec lui par l'intermédiaire du Soi, dont il fait partie intégrante. Ainsi compris, le Moi est la portion du Soi modifiée par l'action immédiate du monde extérieur ; il est comme un prolongement de la différenciation superficielle de l'individu ; il s'efforce de faire porter sur le Soi l'influence de l'extérieur, en substituant le 'principe de réalité' au 'principe de plaisir', lequel domine entièrement le Soi.» A. Hesnard, Les récents enseignements psychologiques de Freud, in L'Encéphale, sept.-oct., 527 ; cf. 528, 530 sqq. - M.C.
1926 - «Songeons un instant à un cas comme le nôtre, et nous serons portés à en déduire que l'identification suppose deux ordres de phénomènes : un phénomène hédonique (principe de jouissance) et un phénomène moral principe de réalité).» Ch. Odier, Contribution à l'étude du surmoi et du phénomène moral, Rapport, Genève, 1er août, in R. fr. de psychanal. , 1ère année, numéro 1, 57; cf. 26, 64 (1927) - M.C.
principe vivifique n.m. ALCHIM. - FEW (9, 393a), v. 1500 ; absent TLF.
Corr.L (14e, Perréal)
*v. 1516 - «[...] mon vif argent Qu'est mon principe vivifique [...]» J. Perréal, Les Remontrances ou la complainte de Nature à l'alchymiste errant, IV, vers 103 (Méon) - R. L. rom., 38, 456.
pétition de principe loc. nom. f. LOG. - GR[85], 1661 ; FEW (8, 313a), GLLF, TLF, 1662, Arnaud et Nicole ; L, cit. Dumars.
1584 - «Et que respondra-il [Aristote] à ce qu'il dit luy mesmes, que les Dieux & les Diuinitez logent au dessus du Ciel & de la subiection du Temps ? Est ce pas poser ce qui doit estre prouué, & pour parler à sa façon, vne petition de Principe ?» J. Des Caurres, Oeuvres morales, 53 r° (De La Noue) - P.E.