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marchand-prince n.m. HIST.  Hong-Kong- ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1860 - «Le Gouvernement et les marchands-princes (on les désigne sous ce nom tant ils sont riches, puissants et superbes, avec le secours de leurs millions), établirent le centre de la ville européenne [de Hong-Kong] entre les deux pics et sur le versant incliné vers la rade [...] Les marchands-princes, établis ainsi, ne se contentèrent pas de leurs constructions splendides. Pour ajouter au luxe de leurs palais, il leur fallait des jardins aux tapis veloutés [...]» Ch. Dupin et coll.Exposition univ. de 1851. Travaux de la commission fr., t.1, 1ère part., 458 - J.Hé.
prince n.m. non conv.  APPELL.  "par dérision" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1836 - «Ne lui parlez pas de Venise, me dit le violon, ou notre doge va commencer son train ; avec ça qu'il a déjà deux bouteilles dans le bocal, le prince BalzacFacino Cane, VI, 70 (Dijon, Pléiade, 1950)
prince du sang loc. nom. m. GÉNÉAL. "prince issu de la famille royale par les mâles" - FEW (9, 389b), 1573, Du Puys ; GLLF, TLF, DHR, 1578, R. Est. ; DEL, 16e.
1566 - «Le Roy, à cause de ceci, / Et les Princes du sang aussi / Sont au conseil, pour sur l'affaire / Adviser ce qui est de faire.» L. Des MasuresTragédies saintes, 41 (Cornély, STFM) - P.E.
prince royal loc. nom. m. TITRE - FEW (9, 389b), GLLF, 1875, Lar. ; DG, L, PR[73], TLF, ø d.
1791 - «Titre que l'assemblée nationale a substitué à celui de dauphin, que portait l'héritier présomptif du trône [...] En langage exact, comme doit être celui d'un peuple libre, on ne devroit appeler royal que ce qui découle du pouvoir politique confié au roi, et non ce qui dépend de sa personne ou ce qui lui est attaché [...] on doit dire [...] l'enfant du roi. Prince royal, exactement parlant, signifie précisément le roi.» GautierDict. de la Constitution (Paris) - LTP