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marché à prime loc. nom. m. BOURSE - FEW (6/II, 4b ; 18, 97b), GLLF, 1835, Acad. ; TLF, cit. Boyard, 1853 ; L, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL
*1826 - «Les Marchés à terme sont de deux sortes, soit ferme, soit à prime ; [...]. Nous donnons ci-joint le modèle d'un Marché ferme et celui d'un Marché à prime.» J. Bresson, De la Liquidation des marchés à terme à la bourse de Paris, 1ère part., 11-12 (Bachelier) - M.C.E.
marché à prime loc. nom. m. BOURSE - DDL 16, 1826 ; FEW (6/II, 4b ; 18, 97b), GLLF, 1835, Acad. ; L, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1819 - «FELIX, marchant sans voir Guillaume. C'est aujourd'hui l'échéance de tous mes marchés à prime. Mes reports doivent être avantageux. GUILLAUME. Reports... marchés à prime ... que veut-il dire ?» E. Gosse, Les Jeux de la Bourse, in E. Gosse, Proverbes dramatiques, I, 219 (Ladvocat) - P.E.
oiseau de prime loc. nom. m. ORNITH. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1874 - «Oiseau qui passe au printemps [...]» A. Daudet, Robert Helmont, 157 (Dentu) - Michel, 128 (autres ex. en 1888, 1897).
prime n.f. BOURSE "somme à verser en cas de dédit dans une vente à terme de valeurs" - TLF, 1765, Encycl. ; DG, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL :
*1882 - «[...] la Central American Bank avait émis avec prime [...] les actions de la Société, qui valaient 500 francs au pair. On s'était colleté, disaient les journaux, devant chez Stockleit, pour avoir des titres.» J. Claretie, Le Million, II, ch. IV, 334 (Dentu) - M.C.E.
*1891 - «[...] le bilan présenté portait, pour l'année 1864, un bénéfice de neuf millions, en y comprenant les vingt francs de prime sur chacune des cinquante mille actions nouvelles, lors du doublement du capital.» Zola, L'Argent, ch. VI, in Gil Blas, 12 janv., 2, col. 1 - M.C.E.
prime n.f. BOURSE "somme à verser en cas de dédit dans une vente à terme de valeurs" - FEW (18, 97b), TLF, DA[82], DHR, 1730, d'apr. Brunot ; GLLF, 1869, Littré ; DDL 16, 1882, Claretie.
1720 - «[...] la Compagnie des Indes fit afficher que pour assurer des Actions à un prix raisonnable dans le courant de six mois, à ceux qui n'ont point encore été liquidez ni remboursez de leurs Rentes ou Charges supprimées ; elle leur delivreroit, en payant comptant la somme de mille livres, des Primes, en vertu desquelles chaque Particulier pourra exiger de ladite Compagnie une Action avec la premiere repartition de 1720, en payant par le Porteur dans le courant des six mois une autre somme de dix mille livres [...].» Le Nouveau Mercure, janv., 156 - P.E.
prime de cuisson loc. nom. f. BOULANG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1863 - «On fait un marché à cuisson, c'est-à-dire une convention par laquelle le meunier s'engage à livrer au boulanger une certaine quantité de farine pendant un laps de temps déterminé, trois mois, six mois, un an ; le boulanger cuit et vend le pain, et tient compte du prix à son fournisseur suivant la taxe de la quinzaine où la farine est employée, et en réservant pour ses avances et son labeur une rémunération en argent qu'on appelle la prime de cuisson.» A. Cochut, in R. des deux mondes, t.47, 15 sept., 422 - M.C.
prime-surprise n.f. SPORTS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «F. et A.V.S. bondirent sur sa roue, dans l'espoir évident d'enlever la prime-surprise dont le signal venait d'être donné.» Les Sports, 14 juill. - Lapaille, 27.
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