|
praline n.f. CONFIS. - TLF, 1679, Rich.
Au 20e- TLF, cit. Adam, 1902 ; FEW (9, 330a) et PR[77] (en Belgique), ø d. 1901 - «Des pralines de chocolat, ça ne se refuse jamais.» Willy, Claudine à Paris, 272 (Ollendorff) - M.C.E.
praline adj. COULEUR - TLF, cit. Morand, 1932 ; GLLF, 20e.
1909 - «[...] foulard [tissu] brillant à très petits dessins blancs ou noirs sur fond de couleur, gris, lin, banane, tilleul, praline.» La Mode illustrée, 30 mai, 255a - M.C.E.
1909 - «Tailleur de chantung praline, col et revers de moire du même ton.» Femina, 1er juin, 291 - M.C.E.
1925 - «Robe praline [...]» Psyché, nov., 43 (Bruxelles) - M.C.E.
praline n.m. COULEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.rose-praline : TLF, cit. Arts et litt., 1936.
1925 - «[...] le violet, le glycine, le cyclamen semblaient marquer une soudaine renaissance, auprès du praline, nouveau venu [...]» Eve, 19 juill., 8 - M.C.E.
1925 - «Aux courses, aux garden-parties, aux cinq-à-sept, la couleur éclate telle une joie vive, rivalité des 'pralines' [sic] et des 'cuivres' [sic] et des bleus surtout ! depuis l'émouvante [sic] clématite jusqu'au bluet vibrant, quelle polychromie chantante si gaie à l'oeil !» Psyché, juill., 39 (Bruxelles) - M.C.E.
praline n.f. arg. ALP. "petite pierre" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Enfin nous parvenons au pied du couloir convoité qui nous envoie aussitôt un petit lot de pralines.» Cité in La Montagne, numéro 254, déc. 1933, 382 - C.T.
|
Accueil