|
pourriture n.f. non conv. GÉOL. "pour un rocher" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Après quelques difficultés dues d'abord à la tempête et aussi à la pourriture du rocher, Jean Amiez arrive enfin à l'escalader [le surplomb].» R. alpine, numéro 11, nov., 356 - C.T.
1931 - «Le rocher était en pourriture complète. Ses détritus que nous lancions devant nous, hurlaient comme des démons [...]» La Montagne, numéro 230, janv.-févr., 6 - C.T.
1936 - «La cheminée se prolonge et se redresse jusqu'à surplomber. LE BRETON, toujours en tête, l'escalade avec brio ; et pourtant, la pourriture du rocher dépasse tout ce qu'il est possible d'imaginer : pas une prise qui ne cède, pas le moindre coincement qui ne provoque un effondrement de cailloux. Il faut bientôt sortir de cette cheminée de cauchemar, et nous poussons un soupir lorsque notre leader nous crie d'en haut qu'il arrive en meilleur terrain.» La Montagne, numéro 278, avr., 158 - C.T.
|
Accueil