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portage n.m. ALP. "action de transporter l'équipement d'un camp à un autre" - GLLF, cit. Frison-Roche ; absent TLF.
1896 - «[...] l'habitude du 'portage', si utile au touriste, ne s'acquiert que par un entraînement méthodique.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1895, 96 (Paris) - C.T.
1932 - «Pour nous élever au camp numéro 5, vu la difficulté du portage, nous décidons de nous diviser en deux groupes, un d'avant-garde et un de soutien.» La Montagne, numéro 240, mai, 202 - C.T.
1962 - «André Parat, Jean Puiseux, Robert Sandoz, Jacques Soubis un moment, Louis Gevril lui-même, assurèrent, par des portages incessants et le convoiement des porteurs, le ravitaillement des trois camps et la montée de l'imposant matériel nécessaire à l'équipement complet de la montagne [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 40, déc., 313 - C.T.
portage n.m. TRANSP. "transport à dos d'homme" - FEW (7, 207a), GLLF, GR[85], 1907.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1909 - «[...] comme ce serait trop cher, le portage est imposé comme corvée aux indigènes et est devenu pour eux un fléau pire que la traite.» Ch. Gide, Cours d'économie politique, 248 (Sirey) - H.C.
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