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polhodie n.f. GÉOM. PHYS. - GLLF, TLF, 1851, Poinsot ; GR[85], 1852, Poinsot.
• polodie - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1848 - «Je proposerais donc de donner à ces deux courbes le nom de polodies, en appelant la première, qui est décrite dans l'intérieur du corps, la polodie relative ; et la seconde qui est décrite dans l'espace, la polodie absolue. Ou, si l'on aimait mieux les distinguer par leur forme particulière, on donnerait à la première courbe, qui est un orbe elliptique et fermé, le simple nom de polodie ; et à l'autre, qui est plane et ondulée, celui d'herpolodie, afin de rappeler, avec l'idée du pôle qui la décrit, la propriété qu'elle a de serpenter en circulant autour d'un même centre fixe.» L. Poinsot, Théorie nouv. de la rotation des corps, présentée à l'Institut le 19 mai 1834, in L. Poinsot, Eléments de statique, 514 (9e éd., Bachelier) - P.P.
polhodie absolue loc. nom. f. GÉOM. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.polhodie : GLLF, TLF, 1851, Poinsot ; GR[85], 1852, Poinsot.
• polodie absolue - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1848 - «Je proposerais donc de donner à ces deux courbes le nom de polodies, en appelant la première, qui est décrite dans l'intérieur du corps, la polodie relative ; et la seconde qui est décrite dans l'espace, la polodie absolue. Ou, si l'on aimait mieux les distinguer par leur forme particulière, on don nerait à la première courbe, qui est un orbe elliptique et fermé, le simple nom de polodie ; et à l'autre, qui est plane et ondulée, celui d'herpolodie, afin de rappeler, avec l'idée du pôle qui la décrit, la propriété qu'elle a de serpenter en circulant autour d'un même centre fixe.» L. Poinsot, Théorie nouv. de la rotation des corps, présentée à l'Institut le 19 mai 1834, in L. Poinsot, Eléments de statique, 514 (9e éd., Bachelier) - P.P.
polhodie relative n.f. GÉOM. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.- GLLF, TLF, 1851, Poinsot ; GR[85], 1852, Poinsot.
• polodie relative - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1848 - «Je proposerais donc de donner à ces deux courbes le nom de polodies, en appelant la première, qui est décrite dans l'intérieur du corps, la polodie relative ; et la seconde qui est décrite dans l'espace, la polodie absolue. Ou, si l'on aimait mieux les distinguer par leur forme particulière, on donnerait à la première courbe, qui est un orbe elliptique et fermé, le simple nom de polodie ; et à l'autre, qui est plane et ondulée, celui d'herpolodie, afin de rappeler, avec l'idée du pôle qui la décrit, la propriété qu'elle a de serpenter en circulant autour d'un même centre fixe.» L. Poinsot, Théorie nouv. de la rotation des corps, présentée à l'Institut le 19 mai 1834, in L. Poinsot, Eléments de statique, 514 (9e éd., Bachelier) - P.P.
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