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homme de pointe loc. nom. m. ALP.  "premier de cordée" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Pendant que l'équipe entame une série de démêlés avec la force mystérieuse que constituent nos 200 mètres de cordes nylon, l'homme de pointe se détache, et, à seule fin d'impressionner le bon public, amorce une partie d'escarpolette pour entrer dans une cheminée pas trop difficile dont la plateforme sommitale rassemble le quatuor.» La Montagne, numéro 348, avr.-juin, 35 - C.T.
neige sèche loc. nom. f. GLACIOL.  NIVOL. - absent TLF.
Add.DDL :
*1926 - «En ce qui concerne le premier argument, les conditions de la neige, quelle est la distinction fondamentale ? C'est que la neige est sèche, ou qu'elle est mouillée, et cela suffit. Cette distinction essentielle sépare l'avalanche de neige sèche, laquelle est froide, se produit au-dessous de 0, a lieu surtout en hiver, probablement par refroidissement de la température, et l'avalanche de neige humide, laquelle est relativement chaude, se produit au-dessus de 0, surtout par radoucissement de la température.» La Montagne, numéro 193, juin, 188-9 - C.T.
*1930 - «Car la neige n'est, ni sèche, ni poudreuse, ni collante, ni moirée, ni crouteuse, ni pailletée, ni fondante, ni mouillée, ni lourde, ni farineuse, ni tolée... elle est FROIDE simplement...» La Montagne, numéro 7, janv.-févr., 53 - C.T.
*1931 - «Les neiges froides et sèches, poudreuses et farineuses, n'ont jamais montré, même fraîches, la moindre tendance au collage, non plus que les neiges de printemps franchement mouillées (névé gros sel) [...]» La Montagne, numéro 230, janv.-févr., 41-42 - C.T.
neige sèche loc. nom. f. GLACIOL.  NIVOL. - DDL 27, 1926 ; absent TLF.
1896 - «Si cette neige gelée vient à se couvrir de 3 ou 4 centimètres de neige sèche, l'on se trouvera dans d'excellentes conditions pour glisser.» L'Echo des Alpes, 56 - M.J.
1905 - «L'avalanche poudreuse est le type de l'avalanche d'hiver ; elle se produit aux basses températures, lorsque la neige est sèche et sans cohésion. [...] On désigne sous le nom de 'planches de neige' des surfaces plus ou moins étendues de neige poudreuse et sèche, que le vent a tassée, surtout dans des dépressions peu marquées, de manière à lui donner une certaine consistance, et qui repose sur de la neige dure ou gelée.» F. Achard, trad. : PaulckeMan. de ski, 140 et 141 (Berger-Levrault) - M.J.
pointe n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1896 - «Veut-on tourner d'un quart de cercle seulement ou changer de direction, il suffit de faire dévier peu à peu les pointes de chaque patin, successivement sans les lever du sol.» Le Moniteur dauphinois, 21 mars - M.J.
1896 - «La pointe et la courbure de l'avant sont calculées de façon à toujours ramener le patin à la surface de la neige.» L'Echo des Alpes, 54 - M.J.
1903 - «Nous avons parlé plus haut du demi-tour sur ski. Ce mouvement se fait toujours de pied ferme et est fort simple, malgré l'apparence. Veut-on faire demi-tour à gauche, par exemple, sur une pente que l'on gravit en lacet en ayant le sommet à sa droite ? On met tout d'abord la pointe du bâton sur la montagne, à droite, et on prend appui sur le pied droit seul. On élève alors la jambe gauche horizontalement, l'on fait décrire à la pointe du ski un quart de cercle à gauche, et l'on pose le pied droit à plat à côté du gauche. L'on a, à ce moment, une pointe en avant et une pointe en arrière ; le mouvement paraît barbare et torturant, il n'en est rien, je vous assure [...]» R. alpine, n° 3, mars, 76 - C.T.
1906 - «Position en 'chasse-neige' (fig. 31). Porter le poids du corps également sur les deux jambes, écarter la partie postérieure des skis, en plaçant leur pointe l'une contre l'autre, les déverser en dedans en appuyant peu sur la pointe des pieds et beaucoup sur les talons, glisser dans cette position en surveillant attentivement la pointe des skis et en déplaçant sur le côté celui qui viendrait à chevaucher l'autre.» RivasPetit man. du skieur, 22 (Briançon) - C.T.
pointe n.f. PERCEP. "goût acide ou aigre" - L, Mont. ; absent TLF.
1531 - «ACIDVS acida acidum, Aigri, Quod acetum factum est. Chose aigrette, sure, ayant vne pointe. [...] ACOR acôris, m.g. Pointe de vin, de grenade, & de semblables.» R. EstienneDictionarium, 24e feuillet v° et 1 r° - P.E.
pointe (avoir une/sa -) loc. verb. non conv. US. ALIM. "être un peu ivre" - DArg., BEI, 1867, Delv. ; TLF, DEL, cit. Zola, 1877 ; FEW (9, 576b), 1890-1900, Dict. gén.
1853 - «MEGRIOT, se levant. Je vas te dire... je ne déteste pas une femme qui a une pointe... j'en ai connu une, qui, lorsqu'elle était dans cet état-là, fesait la cabriole...» Guénée, Delacour, ThiboustUne Femme qui se grise, 21 (Impr. Daix) - P.E.
pointe (en -) loc. adv. ESPACE/LIEU/FORME "sous forme amincie et aiguë à son extrémité" - TLF, DHR, 1585, N. du Fail ; GLLF, fin 16e.
1531 - «APEX [...] Cest aussi aucune chose, de laquelle le bout est agu, & va en pointe R. EstienneDictionarium, 37 v° (Ex officina Roberti Stephani) - P.E.
1546 - «Au mylieu du croyssant entre les deux cornes sortoit vn Geneurier tout rond, montant peu a peu en poincte ague [...].» J. Martin, trad. : [F. Colonna]Discours du songe de Poliphile, 113 v° (Club des libraires de France, 1963) - P.E.
pointe Bic loc. nom. f. ÉQUIP. BUR. "stylobille" - DMC, cit. Le Monde, 1966 ; GR[85], ø d pointe bille : TLF, cit. Le Point, 1980
1953 - «[...] le consommateur assis à ma gauche à la table voisine, faisant son courrier d'apparence, mais depuis quelques instants la pointe Bic en l'air, attentif à ce que nous disions, ou plus exactement à ce que disait Duval, se souleva sans tout à fait se soulever [...]» AragonLe Neveu de M. Duval, 61 (Editeurs fr. réunis) - P.E.
pointe d'asperge loc. nom. f. CUIS. "extrémité la plus fine et la plus tendre de l'asperge" - TLF, cit. Escoffier, 1935 ; GLLF, GR[85], ø d.
1803 - «[...] on les sert [les oeufs] en crépine, [...] brouillés tantôt à la chicorée, tantôt au jus, tantôt au coulis, tantôt aux pointes d'asperges [...].» Almanach des gourmands, 1, 126-7 - P.R.
1808 - «Une noix de veau aux pointes d'asperges Grimod de La ReynièreMan. des Amphitryons, 110 (A.M. Métailié, 1983) - P.R.
sèche (pâtisserie -) loc. nom. f. PÂTISS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. gâteaux secs : TLF, cit. Zola, 1873 ; DDL 16, 1902, Willy ; GLLF, 1964, Rob. ; GR[85], ø d
1821 - «Dans toutes les soirées priées, les pâtisseries sèches sont les seules qui soient recherchées ; on en varie la forme à l'infini. Les pâtes croquantes aux amandes tiennent le premier rang [...]» Journ. des dames et des modes, n° 71, 25 déc., 560 - P.E.
sèche-cheveux n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1874, Le Tam-Tam ; Lex.[79], v.1900 (?) ; GR[85], 1933, Lar.
*1910 - «APPAREILS DE CHAUFFAGE PAR L'ELECTRICITE Chauffage Rapide, Hygiénique, Economique / ALLUME-CIGARES - BAINS-MARIE - CAFETIERES / CHAUFFE-ASSIETTES - CHAUFFERETTES POUR TRAMWAYS - FERS A REPASSER - FOURNEAUX / MACHINES A GLACER LE LINGE - POTS A EAUX ET A LAIT RADIATEURS - RECHAUDS - SAMOVARS / SECHE-CHEVEUX - THEIERES, ETC., ETC.» Publicité de Richard Heller, constructeur-électricien, in Lectures pour tous, numéro 3, déc., 39e p. publicitaire - P.E.
sèche-linge n.m. ÉCON. DOM. - Lex.[79], v.1960 (?) ; DMN (cit.), GLLF, GR[85], 1966, Modes et Travaux ; DMC, cit. Le Monde, 1967.
Add.DDL et compl. TLF (mêmes réf., ø texte)
*1963 - «Sèche-linge Applimo à circulation d'huile, à roulettes, entièrement vertical.» L'Express, 28 févr., 44d - M.B.
sèche-linge n.m. ÉCON. DOM. - Lex.[79], v.1960 ; DDL 28, TLF, 1963, L'Express ; GLLF, GR[85], 1966 ; DMC, cit. Le Monde, 1967.
1953 - «Le sèche-linge THERMO-LINGE JUNIOR [...] Le sèche-linge COFFRESEC-VERITAS [...]» Légendes d'illustrations, in Arts ménagers, numéro 48, déc., 86 - P.E.
équipe de pointe loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «Le 29 et le 30 juillet, l'équipe de pointe continue son avance au-dessus du mur, d'abord par des couloirs de neige et de rocher très raides en face nord, puis par l'arête elle-même, formée d'une succession de tours de glace, qu'il faut tailler, cramponner, contourner, surmonter [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 40, déc., 317 - C.T.