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plouf n.m. onomat. PERCEP.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1908 - «Un 'plouf' dans la piscine.»R. Martin du Gard, Devenir !, in R. Martin du Gard, Oeuvres complètes, vol. 1, 61 (Gallimard. 1959) - J.S.
plouf ! interj. onomat. PERCEP. - PR[72], 20e.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1816 - «/Ces tempéraments/ ressemblent à ces terres riveraines, minées en dessous par l'onde fugitive, couvertes d'herbes et de fleurs ; rien ne les distingue des autres, puis tout à coup plouf !»J. de Maistre, let. au Marquis H. de Costa, 2 avr., in Let. et opuscules inédits, t. 1, 408 (2e éd., Vaton, 1853) - J.S.
plouf ! interj. onomat. PERCEP. - DDL 7, 1816, J. de Maistre [repris in GR[85], TLF] ; Lex.[79], v.1900 (?) ; GLLF, déb. 20e ; FEW (23, 197b), ø d.
1793 - «[...] v'là qu'on l' prend par les bras et par les jambes et plouf le v'là dans l'iau [...]» Hébert, Le Père Duchesne, n° 280, 7 (EDHIS) - P.E.
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