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assurer sur piton loc. verb. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Presque 40 mètres au-dessus d'une très bonne vire, j'assure mes camarades sur piton La Montagne, numéro 348, avr.-juin, 35 - C.T.
mini-piton n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «Les prises en relief sont donc très nombreuses, mais si ces galets manquent ou viennent à céder ils laissent, selon leur taille, des trous comme des 'baquets' ou de petites cavités que l'on pourra bourrer en enfonçant un court taquet de bois afin d'y fixer un 'pitonisa', sorte de mini-piton La Montagne et alpinisme, numéro 98, 3, 327 - C.T.
piton n.m. GÉOGR. ALP. 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1884 - «Trois fois nous sommes obligés de contourner des pitons semblables, que les guides du pays appellent les Gendarmes. [...] Il est d'abord nécessaire de se glisser le long d'un gros bloc qui surmonte l'arête et qui, posé sur elle, me paraît pouvoir être comparé, toute proportion gardée, avec le 'gendarme' du Weisshorn [...]» Annuaire du Club alpin fr. Année 1883 , 125 et 163 (Paris) - C.T.
piton n.m. ALP. - RSp., 1903, trad. Mummery ; TLF, cit. Peyré, 1939 ; GLLF, 1941, Frison-Roche ; Lex.[79], GR[85], ø d ; in Ga [1970].
1903 - «Me laissant glisser le long des parois, qui me rabottent quelque peu le corps, je rejoins Payot, qui me cède sa place et part à la recherche du deuxième piton assez difficile à trouver, fixé qu'il est au fond de la fente quelques mètres plus bas, et que le pied révèle avant l'oeil.» R. alpine, numéro 11, nov., 334 - C.T.
piton américain loc. nom. m. ALP. - absent TLF ; in Ga [1970].
1964 - «Tom passe alors en tête avec un bel assortiment de pitons américains de tous modèles et de toutes tailles, destinés aux fissures de granit les plus difficiles. Ces pitons sont très différents des autres ; ils sont en acier au chrome molybdène. Au lieu de se modeler dans la fissure, parce qu'étant mous ils se déforment, ils se conduisent à la façon d'un ressort, et, quand on les enlève, ils reprennent leur forme originelle. Ils peuvent servir plus de deux cents fois et opposent une grande résistance à la traction. La résistance de l'acier permet également de leur donner la minceur d'une lame de rasoir.» La Montagne et alpinisme, numéro 47, avr., 215 - C.T.
piton artificiel loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «Il [A. Naess] classa les pitons en deux catégories : pitons artificiels et pitons d'assurance. Pour lui, les pitons enfoncés plus haut que la cordée devaient être considérés comme artificiels, car ils mettaient le premier de cordée dans les mêmes conditions que le second.» La Montagne et alpinisme, numéro 55, déc., 151 - C.T.
piton cadmié loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Après quelques longueurs faciles, nous arrivons au pied du fameux ressaut en 'demi-lune'. Vous aimez les pitons ? On en a mis partout !... Il y en a de tout âge et de toute dimension, depuis les barres à mine et les anneaux de navire tout rouillés, jusqu'aux modestes pitons cadmiés, chantournés et ultra-plats. Avis à ceux qui trouvent les 'Simond' trop chers. A vrai dire, ces clous ne sont pas 'équipartis', et entre chaque groupe le passage conserve encore quelques difficultés.» La Montagne, numéro 338, oct.-déc., 76 - C.T.
piton chantourné loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Après quelques longueurs faciles, nous arrivons au pied du fameux ressaut en 'demi-lune'. Vous aimez les pitons ? On en a mis partout !... Il y en a de tout âge et de toute dimension, depuis les barres à mine et les anneaux de navire tout rouillés, jusqu'aux modestes pitons cadmiés, chantournés et ultra-plats. Avis à ceux qui trouvent les 'Simond' trop chers. A vrai dire, ces clous ne sont pas 'équipartis', et entre chaque groupe le passage conserve encore quelques difficultés.» La Montagne, numéro 338, oct.-déc., 76 - C.T.
piton court loc. nom. m. ALP. - absent TLF ; [RSp. : s.v. piton, in cit., 1970, Gautrat].
1934 - «Un piton court planté à fond est bien préférable à un piton long qui n'est engagé qu'en partie.» Man. d'alpinisme, 166 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1943 - «L'utilisation d'aciers spéciaux permet la réalisation de pitons à la fois très solides et très légers : leur poids moyen varie entre 60 et 90 gr. (pitons courts et extra-courts).» Pourchier et FrendoLa Technique de l'alpinisme, 54 (Arthaud) - C.T.
piton d'appui loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Lorsque j'attaque la cheminée, je charge un peu trop un piton d'appuiet m'envole avec lui ; Barral, la corde sur l'épaule, retient le tout.» La Montagne, numéro 348, avr.-juin, 35 - C.T.
piton d'assurance loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in cit., 1969, Le Monde] ; GR[85], TLF, ø d.
1935 - «Les grimpeurs ont réussi la remontée du fameux V sans moyen artificiel autre que des pitons d'assurance La Montagne, numéro 272, oct., 315 - C.T.
1938 - «A ce passage extrêmement délicat succède une petite vire, qui s'interrompt juste à la base d'une fissure très redressée, avec surplomb au départ. Son escalade est difficile, mais, là au moins, il est possible de planter un piton d'assurance La Montagne, numéro 298, mai, 136 - C.T.
1942 - «Courte traversée pour gagner une sorte de cuvette rocheuse, dominée par des surplombs (1 piton d'assurance), gravir le fond de la cuvette formant vire ensuite et finissant contre un éperon vertical que l'on tourne pour reprendre pied sur une nouvelle petite vire (rocher excellent, 2 pitons d'assurance).» La Montagne, numéro 322, juill.-sept., 59 - C.T.
piton de passage loc. nom. m. ALP. - TLF, ø d.
1961 - «Deuxième ascension du dièdre nord-ouest du P. 2992 par MM. Cl. Barbier et E. Steger les 4 et 5 septembre en 18h30 d'escalade effective. Cette voie [...] est très libre : 50 pitons de passage [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 34, oct., 127 - C.T.
1975 - «Mais on doit s'interroger pour les pitons de relais et de passage nécessaires à un très bon grimpeur.» La Montagne et alpinisme, numéro 101, 3, 138 - C.T.
piton de progression loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in cit., 1969, Le Monde] ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1949 - «Renier les pitons d'assurance ou de progression, c'est renier tout aussi bien le piolet, les crampons, les cordes, les semelles Vibram, les ailes de mouches, les tricounis, voire les souliers, les pantalons, les chemises et les caleçons. Pitons, mousquetons, marteaux ont droit de cité dans l'alpinisme au même titre que les susdits effets d'équipement.» La Montagne, numéro 343, janv.-mars, 9 - C.T.
1967 - «La technique d'escalade fut la suivante : dans la première cordée, le premier, n'ayant pas de sac, équipe les passages. Le second avec un sac, enlève les pitons de progression laissant ceux nécessaires à l'amarrage de cordes fixes qu'il place lui-même.» La Montagne et alpinisme, numéro 63, juin, 89 - C.T.
piton de rappel loc. nom. m. ALP. - TLF, ø d.
1946 - «Au sommet de quelques-uns de ces gendarmes, nous apercevions les anneaux ou pitons de rappel utilisés par les cordées qui nous ont précédé sur cette voie à la descente, mais pour nous ils n'étaient d'aucun secours.» La Montagne, numéro 333, juill.-sept., 54 - C.T.
1953 - «Ne pas tenter de monter droit par une arête de rochers rougeâtres délités (piton de rappel laissé) [...]» Alpinisme, été, 235 - C.T.
piton de relais loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. relais, in cit., 1970, Gautrat] ; absent TLF.
1951 - «Afin de ne pas nous bloquer sur le piton de relais, Brunaud et moi laissons filer la première cordée.» La Montagne, numéro 351, janv.-févr., 17 - C.T.
1958 - «Deux pitons de relais nous équilibrent sur la petite vire d'où nous sommes repoussés par le surplomb, le vide s'est creusé sous nous et le pierrier paraît déjà loin.» La Montagne et alpinisme, numéro 20, déc., 310 - C.T.
piton de renvoi loc. nom. m. ALP. - TLF, ø d.
1973 - «Une chute extrême se caractérise par les conditions minimales suivantes [...] La direction de la traction de la corde est déterminée par le point de renvoi (cf D), qui peut être le premier piton de la longueur, une protubérance rocheuse ou un piton planté à cet effet au relais (piton de renvoi).» La Montagne et alpinisme, numéro 92, 2, 53 - C.T.
piton de rocher loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in déf., 1943, Pourchier-Frendo] ; absent TLF.
1934 - «Les pitons de rocher se font en fer forgé [...] Des divers modèles que l'on trouve dans le commerce, bon nombre sont à proscrire [...]» Man. d'alpinisme, 41 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
piton de sécurité loc. nom. m. ALP. - TLF, ø d.
1950 - «Ce relais de corde fut en vérité très beau, difficile mais pas trop, il débuta par quelques mètres de 'ramonage' dans une cheminée, puis nous trouvâmes un morceau d'artificiel assez exposé sur plusieurs mètres... la suite plus aisée ne nécessitait que des pitons de sécurité La Montagne, numéro 348, avr.-juin, 35 - C.T.
piton en lame de couteau loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Au cours de cette escalade artificielle extrêmement difficile où il doit utiliser des pitons en lame de couteau pour négocier un surplomb noir qui barre l'accès de ce qui, nous l'espérons, sera notre vire de bivouac, Tom, mal assuré par un anneau de cordelette, glisse et vole.» La Montagne et alpinisme, numéro 47, avr., 218 - C.T.
piton en lame de rasoir loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
Formule d'approche :
1964 - «Tom passe alors en tête avec un bel assortiment de pitons américains de tous modèles et de toutes tailles, destinés aux fissures de granit les plus difficiles. Ces pitons sont très différents des autres ; ils sont en acier au chrome molybdène. Au lieu de se modeler dans la fissure, parce qu'étant mous ils se déforment, ils se conduisent à la façon d'un ressort, et, quand on les enlève, ils reprennent leur forme originelle. Ils peuvent servir plus de deux cents fois et opposent une grande résistance à la traction. La résistance de l'acier permet également de leur donner la minceur d'une lame de rasoir La Montagne et alpinisme, numéro 47, avr., 215 - C.T.
piton en lame de rasoir loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «La voie du Nez est haute de 900 m, mais avec la perte d'altitude due aux rappels pendulaires, c'est plus de 1 000 m que les grimpeurs doivent gravir dans une paroi sud souvent torride, faite d'un granit compact et poli, coupée de fissures verticales en coin biais, depuis les plus étroites où ne pénètrent que les pitons en lame de rasoir sur quelques millimètres (pitons Rurp - 'à la limite du réel'), jusqu'aux plus larges qui exigent des coins de duralumin en forme d'U de 4 à 18 cm de large.» La Montagne et alpinisme, numéro 65, déc., 157 - C.T.
piton extra-court loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1943 - «L'utilisation d'aciers spéciaux permet la réalisation de pitons à la fois très solides et très légers : leur poids moyen varie entre 60 et 90 gr. (pitons courts et extra-courts).» Pourchier et FrendoLa Technique de l'alpinisme, 54 (Arthaud) - C.T.
1952 - «L'énormité et la complexité de ce matériel m'avaient fait sourire, mais il se révéla tout juste suffisant, puisque sous l'ultime surplomb, Magnone ne disposait plus que d'un piton extra court La Montagne, numéro 358, juill.-oct., 64 - C.T.
1959 - «Après un toit compact franchi à l'aide de deux pitons extra-courts, le rocher devient meilleur, mais la fissure se bouche et devient encore plus surplombante [...] Dans l'après-midi nous équipons une longueur pour doubler le cap d'un toit. Encore des 'golots' et des pitons extra-courts. 25 mètres de gagnés." [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 25, déc., 145 et 149 - C.T.
piton intermédiaire loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «Les garçons de la Civetta plantèrent dans les 35 longueurs de corde (la paroi mesure 850m), 44 pitons intermédiaires et un nombre équivalent de pitons de relais.» La Montagne et alpinisme, numéro 66, févr., 214 - C.T.
piton long loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Un piton court planté à fond est bien préférable à un piton long qui n'est engagé qu'en partie.» Man. d'alpinisme, 166 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
piton perforé loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Dans un petit toit que Jean surmonte en artificiel, nous rencontrons le premier piton perforé. Ils ont été faits avec des pitons Cassin dont la lame a été forgée et meulée jusqu'à ce qu'elle soit ronde comme un crayon et à peu près du même diamètre (environ 7mm, longue de 4cm).» La Montagne et alpinisme, numéro 21, févr., 5 - C.T.
1964 - «On ne manquera pas d'objecter que les pitons perforés ne résolvent pas tous les problèmes, qu'il est long et très fatiguant de les mettre en place, et qu'on ne peut pas 'tamponner' indéfiniment.» La Montagne et alpinisme, numéro 50, déc., 311 - C.T.
piton plat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Des divers modèles [de pitons] que l'on trouve dans le commerce, bon nombre sont à proscrire ; un seul est recommandable pour l'usage courant : le piton Fiechtl, qui nous vient des Alpes Orientales. Il existe en deux variétés [...] piton plat, section allongée dans le plan de l'anneau [...]» Man. d'alpinisme, 41 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1968 - «Un long moment passe, puis il me demande des pitons plats La Montagne et alpinisme, numéro 69, oct., 316 - C.T.
piton porte-manteaux loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «On tue facilement les premières heures en aménageant une plate-forme suffisante ; en installant de tous côtés des pitons porte-manteaux ; en établissant un garde-fou.» La Montagne, numéro 348, avr.-juin, 38 - C.T.
piton rasoir loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «10 pitons rasoir [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 97,2, 262 - C.T.
piton Rurp loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «La voie du Nez est haute de 900 m, mais avec la perte d'altitude due aux rappels pendulaires, c'est plus de 1 000 m que les grimpeurs doivent gravir dans une paroi sud souvent torride, faite d'un granit compact et poli, coupée de fissures verticales en coin biais, depuis les plus étroites où ne pénètrent que les pitons en lame de rasoir sur quelques millimètres (pitons Rurp - 'à la limite du réel'), jusqu'aux plus larges qui exigent des coins de duralumin en forme d'U de 4 à 18 cm de large.» La Montagne et alpinisme, numéro 65, déc., 157 - C.T.
piton Simond loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1953 - «Pitons à rochers. Ils sont en L et, comme les pitons Simond, conviennent indifféremment aux fissures verticales ou horizontales. Un petit appareil nommé 'crabe', qu'on accroche aux aspérités du rocher et sur lequel on peut placer des étriers, est également utilisé dans l'escalade artificielle.» La Montagne, numéro 360, mars, 7 - C.T.
piton ultra-plat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Après quelques longueurs faciles, nous arrivons au pied du fameux ressaut en 'demi-lune'. Vous aimez les pitons ? On en a mis partout !... Il y en a de tout âge et de toute dimension, depuis les barres à mine et les anneaux de navire tout rouillés, jusqu'aux modestes pitons cadmiés, chantournés et ultra-plats. Avis à ceux qui trouvent les 'Simond' trop chers. A vrai dire, ces clous ne sont pas 'équipartis', et entre chaque groupe le passage conserve encore quelques difficultés.» La Montagne, numéro 338, oct.-déc., 76 - C.T.
piton à anneaux loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1943 - «Eviter de passer la corde directement dans le piton (elle se couperait ou glisserait mal), à moins de posséder des pitons à anneaux spécialement conçus pour la pose des rappels.» Pourchier et FrendoLa Technique de l'alpinisme, 100 (Arthaud) - C.T.
piton à cornière loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Notre intuition ne nous avait pas déçus. Lorsque, une heure plus tard, nous nous sommes retrouvés au-dessus du mur, laissant dans l'affaire un piton à cornière, nous étions pleinement satisfaits ; nous avions réussi le plus beau passage de haute montagne que nous eussions attaqué.» La Montagne, numéro 335, janv.-mars, 12 - C.T.
piton à expansion loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in cit., 1970, Gautrat] ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1958 - «KAISERGEBIRGE Fleischbank Première ascension d'une 'directe' sur la face est les 19 et 20 juillet 1957 [...] 400 m en 20h, difficultés extrêmes dans la première moitié (plusieurs pitons à expansion).» La Montagne et alpinisme, numéro 16, févr., 187 - C.T.
1959 - «Des pitons à expansion sont enfoncés à côté de fissures facilement pitonnables.» La Montagne et alpinisme, numéro 21, févr., 7 - C.T.
1960 - «Nous plantons des broches à glace et des pitons à expansion La Montagne et alpinisme, numéro 27, avr., 209 - C.T.
piton à glace loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in cit., 1943, Pourchier-Frendo] ; GLLF, 20e ; absent TLF.
Formule d'approche :
1932 - «Mon frère Franz prend le sac qui contient tout notre attirail de serrurier : pitons pour la glace et le roc, mousqueton et cordelette, un sac en batiste caoutchoutée en prévision d'un bivouac éventuel [...]» La Montagne, numéro 238, mars, 100 - C.T.
piton à glace loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in cit., 1943, Pourchier-Frendo] ; GLLF, 20e ; absent TLF.
1933 - «A cet endroit, les rochers des rives du couloir ne présentant plus aucune qualité pour qu'y fût placée une nouvelle fiche, un piton à glace fut planté. [...] En ce moment, nous assistons à l'introduction en France des méthodes dolomitiques avec leur arsenal d'étriers, de pitons à rocher et à glace, de mousquetons, de marteaux." » La Montagne, numéro 248, avr., 148 et numéro 251, juill., 260 - C.T.
1934 - «L'usage des pitons à glace ne pourra jamais être que fort restreint. Dans la glace tendre, ils sont très rarement utiles. Pour la glace dure, il n'est guère que la glace de séracs dans laquelle un piton pourra être solidement fixé. Il faudra toujours l'éprouver avec le plus grand soin avant de s'y fier. Les pitons à glace sont longs d'au moins une vingtaine de centimètres et souvent en aluminium pour alléger leur poids. On les enfonce avec un marteau. On place dans leur anneau un 'mousqueton', destiné à recevoir la corde de l'alpiniste à assurer.» Man. d'alpinisme, 178-9 (Libr. Dardel, Chambéry) - C.T.
piton à rocher loc. nom. m. ALP. - [RSp. : s.v. piton, in déf., 1943, Pourchier-Frendo] ; TLF (de), ø d.
1933 - «En ce moment, nous assistons à l'introduction en France des méthodes dolomitiques avec leur arsenal d'étriers, de pitons à rocher et à glace, de mousquetons, de marteaux.» La Montagne, numéro 251, juill., 260 - C.T.
piton-cornière n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Tom a mis en oeuvre une véritable industrie, utilisant notre plus petit piton long de deux centimètres, et, deux mètres plus haut, le plus grand d'entre eux, tandis qu'au-dessus il a enfoncé une série de cinq coins de bois dont certains sont jumelés avec de grands pitons-cornières en aluminium.» La Montagne et alpinisme, numéro 47, avr., 218 - C.T.
piton-en-place n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «Quel serait aujourd'hui l'étonnement de Gary s'il entendait les nouveaux propos de ses compatriotes prêchant maintenant pour un éventuel retour à la pratique du 'piton-en-place' !» La Montagne et alpinisme, numéro 97, 2, 296 - C.T.
piton-expansion n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «D'autres 'nouveautés' signifieraient davantage, mais, sans doute, les directissimes à pitons-expansion impressionnent-elles le public, en grande majorité inapte à considérer dans l'événement la façon dont il a été réalisé et les moyens employés.» La Montagne et alpinisme, numéro 102, 4, 171 - C.T.