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marteau piqueur, marteau-piqueur n.m. MINES TECHNOL. - GLLF, 1949, Lar. ; GR[85], cit. Cayrol, 1973 ; TLF, ø d.
1917 - «L'économie totale que permet de réaliser l'emploi des marteaux-piqueurs peut être estimée à 25 % en moyenne par rapport au prix de revient de la tonne abattue à la main.» La Science et la vie, n° 33, juill., 35b - P.E.
piqueur n.m. arg. CRIMES "voleur à la tire" - DArg., 1957, Sandry-Carrère ; TLF, ø d.
1953 - «[...] piqueur : individu qui attaque au couteau. Signifie aussi parfois dans le bas argot des faubourgs (c'est-à-dire la langue parlée par les faux affranchis) un voleur.» A. Simonin, Touchez pas au grisbi !, 251 (Glossaire argotique) (Gallimard, Livre de Poche) - K.G.
piqueur de fesses loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «Dans tous les cas, le sadique s'adresse invariablement à la même partie du corps (flagellateurs, piqueurs de fesses, coupeurs de peau, coupeurs d'oreilles, éventreurs, etc.) [...] Philippe X..., le piqueur de fesses, dont l'auteur relate l'observation, est un individu de dix-neuf ans, fils de névropathes et porteur de stigmates de dégénérescence. Il fut arrêté par des passants au moment où, après avoir frappé, d'un coup de lame dans la fesse, une jeune fille, il cherchait à s'enfuir.» Dr Cullerre, c.r. : Dr P. Garnier, in Annales médico-psychol., I, 479 - M.C.
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