| ![]() ![]() ![]() ![]()
percept n.m. d'apr. angl. PSYCHOL. - TLF, 1878, Lar. [d'apr. DDL 20] ; DA, 1907 ; PR[72], 20e.
*1921 - «Il n'est pas plus sage de dire que l'extérieur nous impose l'étendue que de dire qu'il nous impose la durée. S'il nous impose l'une, il peut nous imposer l'autre. Le mystère est que nous les concevions. En tout cas, il y a une correspondance certaine et perpétuelle entre ces deux percepts de la réalité.»J.-H. Rosny aîné, Le temps et l'espace, in Mercure de France, 1er juill., 23 - J.S.
percept n.m. PHILOS. - Lex.[75], v. 1900 ; DA[80], 1907 ; DDL 7, 1921 ; PR[77], 20e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1878 - «PERCEPT s.m. [...] Philos. Ebauche de la perception, acte de la sensibilité réduit à son degré le plus faible.» Lar. GDU, Suppl. 1.
*1894 - «[...] schwache sinnl. od. geistige Wahrnehmung.» Sachs-Villatte, Französisch-deutsches Supplement-Lexikon (Berlin) - M.H.
|